CATALOGUE DES EDITIONS ET DIFFUSIONS MEMOIRE & DOCUMENTS
"GRAND
ARMORIAL DE FRANCE" de Henri JOUGLA de MORENAS et R. de WARREN
GAFP, ed. classique 2011 (édition luxe épuisée), 7 volumes 21 x 29,7,
couverture souple, dos carré collé, 450 €
Catalogue général des armoiries des familles nobles de France,
comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le
royaume et celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la
noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant
les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse
entre 1660 et 1830, d'après l'édition de 1952 en 6 volumes + 1 volume
supplément.
"L'ARMORIAL GENERAL DE 1696, et son application en Franche-Comté" de
Nicolas Vernot.
Réédition 2011 de l'édition 2003, 21 x 29,7, 320 pages, 49 €
L'Armorial général de 1696 est un des documents les plus consultés de
la Bibliothèque Nationale. Paradoxalement, c'est également un des plus
méconnus. En effet, la complexité de son organisation interne et les
jugements lapidaires portés parfois sur cette entreprise ont détourné
nombre de chercheurs de cette source pourtant hors du commun. Avec ses
quelques 120.000 enregistrements, l'Armorial général mérite tout
l'intérêt du généalogiste, de l'historien et de tout curieux de la
société d'Ancien Régime. Cette étude cherche à mettre fin à un certain
nombre de préjugés traditionnellement attachés à l'Armorial général et
s'attache à répondre aux questions les plus souvent formulées par tous
ceux qui ont eu un jour
affaire à cet ouvrage. Pourquoi l'Edit de 1696 a-t-il été mis en place
? Comment, concrètement, ont eu lieu les enregistrements ? Quel degré
de confiance peut-on leur apporter ?
Que sont les armoiries d'office, à qui et comment ont-elles été
attribuées ? D'une manière générale, quelles sont les particularités
des armoiries portées sous le règne de Louis XIV, comment étaient-elles
choisies et quelle était leur signification ? Pour répondre à toutes
ces questions, l'ouvrage s'appuie sur des sources précises telles que
la législation (le texte de l'Edit y est intégralement reproduit).
Surtout l'auteur, Franc-Comtois, a le souci permanent de confronter les
ambitions de l'Etat monarchique à la réalité du terrain : il a donc
choisi de donner son pays d'origine pour cadre à cette étude, ce qui
lui permet d'expliquer de manière concrète et approfondie les modalités
d'application de l'Edit de 1696. L'Armorial général est loin de
s'adresser à la seule noblesse : bourgeois et marchands, villes et
communautés religieuses sont eux aussi concernés par ce nouvel impôt
dont l'application fait apparaître toute la richesse de l'heraldique
sous le règne du Roi Soleil : phénomènes de mode, particularités
locales, stratégies familiales, soif de paraître, voire humour... c'est
un visage parfois inattendu de la société d'Ancien Régime qui se laisse
découvrir… Table
des noms cités.
"LA FEODALITE EN FRANCHE-COMTE SOUS L’ANCIEN REGIME (Etude sur le
Régime Seigneurial & Répertoire des Seigneurs Comtois)
(1678-1789)" de E. THIOU
FFAR, 2010, 21 x 27, 556 p., 59 €
Le but essentiel de cet ouvrage est
d'être un tableau typologique de la féodalité en Franche-Comté entre
1678 et 1789, en commençant par le régime seigneurial, dont on ne
trouve aucune définition en tant que tel aussi bien dans les ouvrages
du XVIIIe siècle que dans les livres spécialisés de notre siècle,
pourrait être défini comme étant constitué par les privilèges attachés
au domaine ou réserve seigneurial(e) (château, terrains, etc) et par
l'ensemble des prérogatives et des droits s'exerçant sur les sujets et
les biens relevant de la directe seigneuriale, le tout attaché à la
dignité de seigneur justicier d'un lieu. Puis afin de compléter cette
étude sur la féodalité, nous y ajoutons un répertoire des seigneurs de
Franche-Comté, classé par ordre alphabétique des communes de l’ancien
comté de Bourgogne, qui permettra au lecteur de situer une commune au
niveau seigneurial, appartenance ou non à une terre titrée, à une grand
seigneurie, ainsi qu’au niveau de ses seigneurs qui seront classés par
ordre chronologique à l’intérieur de chaque notice communale. Nous
espérons que cet ouvrage fera mieux comprendre au lecteur ce qu’était
la féodalité au dernier siècle de son existence en Franche-Comté.
Table
des noms cités
"DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE ET GENEALOGIQUE DES CHEVALIERS DE
SAINT-HUBERT DE LORRAINE ET DU BARROIS (1416-1852)" de P. de VILLEPIN
OSH2, 2010, 16 x 24, 450 p., 29 €
L’Ordre noble de Saint-Hubert de Lorraine
et du Barrois est le plus ancien des Ordres de Saint-Hubert et le seul
Ordre de chevalerie authentiquement lorrain.
Fondée en 1416 par le cardinal de Bar et 47 gentilshommes pour assurer
la succession menacée de leur duché, la Compagnie du Lévrier blanc se
place dès 1422 sous l’invocation de saint Hubert, apôtre des Ardennes,
patron des chasseurs et thaumaturge de la rage. Entre chevalerie et
vénerie, cette institution d’origine étrangère est reconnue par Louis
XV après la réunion de la Lorraine à la France avant d’émigrer sous la
Révolution. Restaurée en 1816, elle est finalement interdite en 1824
par Louis XVIII, ce qui ne l’empêche pas de renaître bientôt en
Belgique et de connaître divers avatars.
Sur plus de quatre siècles, les quelque 500 chevaliers de Saint-Hubert
appartiennent à près de 300 familles qui forment une caste -tantôt
ouverte, tantôt fermée- issue aussi bien de la noblesse d’extraction
que de la robe ou de l’aristocratie marchande. Aujourd’hui, 15 à 20% de
ces familles sont subsistantes. En ligne féminine, bien d’autres noms
se rattachent à ce cénacle de notables locaux qu’Auguste Didot fait
figurer, non sans emphase, parmi les Ordres les plus anciens de la
chrétienté.
De saint Hubert au bienheureux Charles de Foucauld (1858-1916) -issu
lui-même de trois dignitaires-, la magie filiative de ces chevaliers
chasseurs se transforme en quête de renouveau spirituel. Ce
Dictionnaire biographique et généalogique des chevaliers de
Saint-Hubert fait suite, dix ans après, à l’histoire de L’ordre de
Saint-Hubert de Lorraine et du Barrois (1416-1852), prix d’Histoire
2000 de l’Académie nationale de Metz. Table
des noms cités
"GRAND ARMORIAL DE FRANCE" de Henri JOUGLA de MORENAS.
GAF, 1 CD-ROM, Version MAC PC Windows 95/98/2000/XP, 110 €
Catalogue général des armoiries des familles nobles de France,
comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le
royaume et celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la
noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant
les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse
entre 1660 et 1830, d'après l'édition de 1934-1952 en 6 volumes + 1
volume supplément; le tout en 7 volumes, permettant une recherche par
le patronyme, la seigneurie la terre ou plein texte.
"LES QUELEN DE LAVAUGUYON" de
Jacques Dubois de Lavauguyon
QUEL, 2009, 16 x 24, 150 p., 25 €
Cette histoire d'une famille française sur un millénaire nous permet de
mieux connaître l'évolution et le rôle d'un groupe social spécifique
que les historiens d'aujourd’hui appellent la noblesse seconde. En
effet, la noblesse n'est pas homogène, selon son origine, l'importance
des charges quelle occupe, ses alliances, sa proximité avec la famille
royale et, on pourrait ajouter, sa richesse, une famille noble ne
correspond pas à un modèle unique et elle-même connaît une évolution au
cours du temps.
C'est ce qu'on observe en ce qui concerne les Quélen de Lavauguyon que
l'on voit, petits seigneurs de Bretagne ou de Guyenne parvenir, au fil
des siècles, des alliances et des services éminents rendus à la
Monarchie, au rang de duc et Pair de France.
En remontant le temps on découvre que, par le jeu de prestigieuses
alliances, les Quélen de Lavauguyon peuvent compter dans leur
généalogie ainsi que l'attestent les lettres patentes de 1758 portant
érection du duché-pairie de Lavauguyon ) rien moins que Chartes Martel,
les premiers ducs de Bretagne, un empereur de Constantinople
(Constantin Vll), Guillaume Le Conquérant, Baudouin VII de Jérusalem
et, encore, des croisés, un Pape de La Renaissance ( Alexandre VI) et
son fils César Borgia, un « Mignon » d'Henri III, des maréchaux de
France, des ambassadeurs, un général d'Empire, un archevêque de Paris,
des héros et des saints, etc....
"LA SUPERBE COMTESSE DE BRIONNE" de Benoit Florin
BRIO, 2009, 15 x 22, 350 p., cahier ill. couleurs, 25 €
Même si elle est aujourd'hui bien oubliée, Louise de Rohan, comtesse de
Brionne et princesse de Lorraine, a fasciné ses contemporains autant
que la princesse Grace de Monaco ou « lady Diana » à notre époque.
Cette grande aristocrate à la beauté légendaire a également côtoyé des
personnalités très variées, et nous permet de les considérer sous des
aspects moins connus, qu'il s'agisse des philosophes Voltaire et
Rousseau, ou des souverains Gustave III, Joseph II et Marie-Antoinette
(dont elle fut un temps la favorite). Elle a aussi inspiré de tendres
sentiments à Choiseul et Talleyrand, deux grands ministres des Affaires
étrangères, comme sans doute à quelques autres. Elle sut néanmoins
rester fort « sage » - selon le mot de Casanova - en un siècle où on ne
l'était guère dans son milieu, tout en menant une existence très
moderne pour son temps. Seule femme à avoir assumé l'importante
fonction de grand écuyer de France, elle avait parallèlement la passion
des voyages et des rencontres. Ce personnage attachant incarne donc
pleinement le dix-huitième siècle finissant et « le plaisir de vivre »
de sa haute société. Affrontant ensuite avec courage et dignité les
années noires de l'émigration, Louise de Brionne mérite assurément le
titre de « dernière grande dame de France et d'Europe » que lui décerne
son cousin le prince de Ligne, dont elle peut être considérée comme le
pendant féminin.
Table
des noms cités
"LIRE LES ECRITURES ANCIENNES, DU XVe AU XVIIIe
SIECLE" de Roland de Tarragon
TARA, 2009, 21 x 29,7 cm, 572 p., 59 €
Extraordinaire recueil de plus de 7500 images (exemples et formes de
lettres, mots, abréviations, enchaînement de mots...) qui permettra de
s'initier a la lecture des écritures anciennes du XVe au XVIIIe
siècles. Un outil indispensable pour le paléographe et le généalogiste.
"L'ART HERALDIQUE, lire, décrire, composer des armoiries" de Gérard
Audoin.
Nouvelle édition revue et augmentée
AH2, 2009, 17 x 24, 462 p., 59 €
Les armoiries sont des signes graphiques, généralement inscrits dans un
écu aux contours variés, ayant la particularité d'être fixes et
héréditaires. L'écriture des noms par l'image. Dans cette nouvelle
version de «l'art héraldique» largement augmentée, vous découvrirez un
complément de meubles, de cimiers, de quelques figures au dessin
caractéristique du XVe siècle, des combinaisons particulières,
d'exemples d'armoiries de corporations, de villes, de familles, de
badges, de symboles para héraldiques, de constructions géométriques...
également une attention sur les confusions dans le graphisme et son
interprétation. Un index développé vous permettra le renvoi aux
illustrations.
A partir du moment où l'héraldique est comprise comme une langue qui
possède sa syntaxe - les fameuses règles du blason - et son vocabulaire
propre - les termes spécifiques qui font par exemple que le vert se dit
"sinople", tout le monde peut la pratiquer à sa manière, et comme toute
langue, chacun la prononcera avec son accent. Les modèles graphiques
pourront donc être déclinés à l'infini selon les aptitudes artistiques
de chacun, et le Manuel d'art héraldique de Gérard
Audoin doit alors se lire comme une grammaire du blason : à partir de
quelques règles bien maîtrisées et simples et de milliers de modèles,
chacun peut donner libre cours à son inspiration et à son
interprétation. Par exemple, à partir du dessin du loup proposé par
Gérard Audoin, tout le monde peut proposer des variations. Après la
lecture de ce magnifique manuel et si le cœur vous en dit, prenez donc
vos crayons, et maintenant, blasonnez !
Glossaire des termes définis et illustrés
dans "l'ART HERALDIQUE"
"CD ARMORIAL GENERAL" de J.B. Rietstap
Précédé d'un Dictionnaire des Termes de Blason. ed. 1887, 2 vols. 1200
+ 1328 p. Cet irremplaçable ouvrage de référence contient la
description de milliers d'armoiries du monde entier, classée par ordre
alphabétique des noms de famille. Suivi de : « ILLUSTRATIONS DE
L'ARMORIAL GÉNÉRAL » de Rietstap, de V. & H.V.Rolland, 6 vol.,
2029 p. d'illustration montrant approximativement. 85.000 dessins
d'armoiries classées par ordre alphabétique des noms de famille
& représenté en noir et blanc, hachures, etc….sous forme de 2
CD ROM, PC/MAC,
149 €
"MAINTENUES ET ARMORIAL DE LA NOBLESSE DU PERIGORD sous Louis XIV et la
Régence" de Gontran du Mas des Bourboux.
MAPER, 2006, 17 x 25, env. 240 p., 49 €
Les recherches de noblesse pour cette région ayant été détruites,
l'auteur a patiemment reconstitué ces dernières, sur la base de sources
d'archives irréfutables. L'apport de cet ouvrage est considérable, car
outre la liste des nobles qu'il donne, il remet en cause les antiennes
sur la fluidité sociale dans cette région. Table
des noms cités
"LA NOBLESSE MILITAIRE DE GUYENNE (1715-1789) DICTIONNAIRE DE
BIOGRAPHIES" de Thomas Flichy.
NGUY, 2007, 16 x 24, env. 250 p., 39 €
Avide d’aventures et de conquêtes, la noblesse de Guyenne ne reste pas
insensible à l’attrait des carrières militaires entre la fin du règne
de Louis XIV et 1789. Les gascons se battent partout : de l’Inde au
Canada en passant par l’Allemagne et les Antilles. Combattant dans des
unités de prédilection comme les régiments d’Auvergne ou de Normandie
mais également sensibles au raffinement du siècle, la fortune des
gascons sera souvent haute en couleur. Le milieu des officiers, marqué
par une perpétuelle tension entre l’ouverture et le poids des
solidarités, invente un nouvel art de vivre alliant élégance et
simplicité. Cet ouvrage recense le destin de près de deux mille
officiers de Guyenne appartenant à six cent familles. Il apporte un
éclairage inédit sur un champ de la recherche resté inexploré à ce jour. Table des noms cités
"DICTIONNAIRE DES TITRES et des terres titrées en France sous l'Ancien
Régime" de Eric
Thiou.
Ref DITI, 2003, 17 x 24 cm, 320 p., 50 €
Que n'a-t-on glosé sur les titres de noblesse, cette matière a fait
couler beaucoup d'encre, causé nombres de procès même encore récemment.
De glorieux prédécesseurs dont et surtout Chasot de Nantigny dont
l'œuvre s'approche le plus du présent ouvrage, le baron Woelmont de
Brumagne, ou M. D. de Labarre de Raillicourt, se sont essayés au
recensement des titres de noblesse français. Mais ils se sont
généralement cantonnés à la période qui leur était contemporaine en
étudiant les titres subsistants à leur époque. De plus, leurs études
s'intéressèrent plus aux personnes qu'à la terre qui portait le titre
en question. Le sujet a donc été abordé sous l'angle de la géographie
historique, le but de ce livre étant de recenser les seigneuries
«décorées», comme l'on disait alors, des titres de baronnie, vicomté,
comté, marquisat et principauté de la France d'Ancien régime.
Cette étude inédite recense plus de 4700 terres titrées à travers tout
le royaume de France en y incluant le Comtat Venaissin, mais en
excluant la Savoie. Ce livre recense environ de 95% à 99% des terres
titrées françaises d'Ancien Régime. Pour la première fois des
statistiques ont pu être faites sur ce sujet, et par là même permettre
des comparaisons.
Enfin, ce livre pourra permettre, aussi et surtout, de distinguer les
vrais des faux titres d'Ancien Régime.
Table des noms cités
Dédicace de l'auteur
"NOBLESSE DE BRETAGNE – Histoire et liste des famille de la noblesse
bretonne", de Jean de Saint-Houardon, Blasons : Ségolène de Pas
2007, seconde édition, revue et complétée, 17 x 25, 475 pages, 55 €
La noblesse bretonne a sa spécificité. Cet ouvrage tend à réunir dans
sa première partie ce qu'elle recouvrait et ce qu'elle représente
encore aujourd'hui à nos yeux. A quoi doit-on attribuer son caractère,
son particularisme ? A son histoire, à celle du duché, à la
Constitution bretonne, à sa place au sein des institutions provinciales
? Oui, mais aussi au tempérament breton dont on continue à dire qu'il
est opiniâtre, parfois farouche, à l'indépendance d'esprit du second
ordre en Bretagne, à l'idée de ce que ce dernier se faisait de lui, à
sa résistance aux pressions du pouvoir central, à la défense de ses
privilèges avec ceux de la province.
Quels sont les principes qui ont conféré et maintenu la noblesse, en
particulier en Bretagne ? Que recouvre le statut du corps de la
noblesse et qu'elles furent dans le temps ses attributs et ses
obligations ? Quelle part doit-on attribuer aux mythes qui lui sont
rattachés par rapport à sa réalité ? Noblesse ancienne, noblesse
pauvre, noblesse aisée, noblesse d'Ancien Régime, noblesse du XIXe
siècle, ce livre, qui parcourt les temps traversés par la noblesse de
Bretagne des origines à nos jours, nous montre qu'unique dans son
principe, elle fut multiple dans les faits et dans sa réalité sociale.
La première partie du livre, qui brosse l'histoire de la noblesse
bretonne et embrasse l'ensemble de ses paramètres, permet d'appréhender
la seconde, qui se présente sous la forme d'un premier nobiliaire
réunissant 384 familles subsistantes, originaires de Bretagne, et leurs
notices. Ces familles ont été sélectionnées au regard d'un principe :
celui de la naissance ou du maintien de leur noblesse en Bretagne.
Seules quelques familles réunies dans une liste complémentaire ne
répondent pas à ce principe, mais ont été choisies pour leurs alliances
bretonnes ou leur attachement manifeste au sol breton. Leurs notices
sont des recueils de jalons de leur histoire depuis leur filiation
connue. Elles retiennent pour une part d'entre elles des événements
contemporains qui les concernent et les honorent et relèvent, pour la
plupart, leurs attaches actuelles en Bretagne. Cette 2ème édition
augmentée de l'ouvrage adjoint à ce premier nobiliaire suivi d'un
armorial en couleur réalisé par Ségolène de Pas, un second recueil de
232 courtes notices relatives aux familles qui se sont fondues dans les
familles subsistantes précédemment listées. Afin de mieux situer les
actions et services des sujets cités dans leur contexte, une somme
importante d'indications introductives permet de se les approprier. Table des familles étudiées
"DEUX SIECLES D'HISTOIRE AU PERE LACHAISE" de
Paul Bauer. Prix CARLIER 2007 de
l'Académie des Sciences Morales et politiques
2SHPL, 2007, 17 x 25, 868 p. illustrations couleurs, 45 €
Ouvrage totalement inédit sur le sujet. Après un historique du
cimetière du Pere Lachaise, il donne les biographies de plus de 2000
personnages dont les tombes sont présentes. Certains de ces personnages
appartiennent à l'histoire, et pour nombre d'autres, l'auteur les
arrache à l'oubli, présentant ainsi une face inédite de l'histoire de
ce grand monument parisien. Table
des noms cités Presentation de
l'ouvrage
"FILIATIONS LANGUEDOCIENNES", de Hubert de Vergnette de Lamotte
Version en 3 volumes 21 x 29,7, 900 p., brochés, 250 €
Les Filiations Languedociennes représentent un ouvrage de trois
volumes. Il concerne plus de 250 familles du Bas Languedoc, et plus
spécialement de l'Hérault et du Gard, étudiées depuis le XIVe ou le XVe
siècle, jusqu'aux XVIIIe et XIXe siècle.
L'ouvrage résulte de recherches faites à partir des actes authentiques
que sont les registres paroissiaux, les minutes de notaires, relevées
dans les Archives départementales, les Archives Nationales, la
Bibliothèque Nationale, les chartriers particuliers...
Chacun des trois volumes est précédé d'une table des matières donnant
le nom des familles étudiées, et suivi d'un index des alliances avec
l'indication de la page pour pouvoir s'y reporter facilement. Table des familles étudiées
"DICTIONNAIRE HISTORIQUE, BIOGRAPHIQUE ET GENEALOGIQUE DES ANCIENNES
FAMILLES DE FRANCHE-COMTE", du Général de MESMAY
Version en 3 volumes 21 x 29,7, brochés, de la réédition corrigée et
recomposée de cet ouvrage dont la première édition (1957), tirée à 50
exemplaires, est devenue introuvable. Admirable compilation de plus de
3 000 pages à l'origine, le Dictionnaire du Général de Mesmay comprend
1 000 genealogies complètes et détaillées (heraldique comprise) des
familles notables de Franche-Comté et parfois de Bourgogne, de la
féodalité au Premier Empire, en passant par ces Messieurs du Parlement
de Dole et de Besançon et de la Chambre des comptes. Cet ouvrage,
complété par une très riche bibliographie, s'avèrera indispensable aux
chercheurs qui s'intéressent aux filiations de l'Est de la France,
notamment par l'abondance des sources citées, et constituera un élément
de référence dans toute bibliothèque genealogique franc-comtoise ou
bourguignonne.
250 € Table
des familles étudiées
"HISTOIRE DE L'ORDRE ROYAL ET
MILITAIRE DE SAINT-LOUIS DEPUIS SON INSTITUTION EN 1693, JUSQU'EN
1830", par Alex. Mazas, complétée par Théodore Anne, deuxième et
dernière édition (1860)
Réédition en trois volumes de format 16 x 24 cm, d'environ 1850 p. au
total, contenant les noms des quatorze mille chevaliers et dignitaires
de cet ordre. 149 €
.
La décoration de l'Ordre de Saint-Louis, véritable ancêtre de la légion
d'honneur, fut la distinction la plus convoitée par les militaires de
l'ancien régime. C'est aussi la première décoration des temps modernes.
Jusqu'alors les ordres de chevalerie étaient des émanations directes du
régime féodal et à ce titre liés à la naissance. Louis XIV créa l'Ordre
de Saint-Louis en 1693 pour récompenser la vertu, le mérite et les
services rendus par les officiers de ses armées, de plus en plus
nombreux, et souvent issus de milieux roturiers. Ceux-ci, bien
qu'anoblis sous certaines conditions, ne pouvaient fournir les
quartiers exigés pour l'accession aux ordres royaux. L'Ordre de
Saint-Louis marque ce passage à l'ère moderne et l'armée l'accueillit
avec une faveur jamais rencontrée.
"DICTIONNAIRE HISTORIQUE,
BIOGRAPHIQUE ET GENEALOGIQUE DES ANCIENNES FAMILLES DE FRANCHE-COMTE"
du Général de MESMAY
Sous forme de CD ROM, la réédition recomposée de cet ouvrage dont la
première édition (1957), tirée à 50 exemplaires, est devenue
introuvable. Admirable compilation de plus de 3 000 pages à l'origine,
le Dictionnaire du Général de Mesmay comprend 1 000 genealogies
complètes et détaillées (heraldique comprise) des familles notables de
Franche-Comté et parfois de Bourgogne, de la féodalité au Premier
Empire, en passant par ces Messieurs du Parlement de Dole et de
Besançon et de la Chambre des comptes. Cet ouvrage, complété par une
très riche bibliographie, s'avèrera indispensable aux chercheurs qui
s'intéressent aux filiations de l'Est de la France, notamment par
l'abondance des sources citées, et constituera un élément de référence
dans toute bibliothèque genealogique franc-comtoise ou bourguignonne.
135 € Table
des noms cités
"ARMORIAL ET NOBILIAIRE DE
L'ANCIEN DUCHE DE SAVOIE", du Comte E. Amédée de FORAS
(1863-1944), Réédition, sous forme de DVD, des 6 volumes in-folio.
tirage très rare, 310 exemplaires. Le plus beau des nobiliaires
francais, tant par la typographie que pour les illustrations, et un des
meilleurs. La documentation rassemblée par Amédée de Foras entre 1860
et 1899 représente 60 à 80 mètres linéaires d'archives conservées au
chateau de Menthon; C'est une des principales sources de l'histoire de
Savoie. Ce magnifique ouvrage concerne non seulement les familles
francaises savoyardes, mais aussi de très nombreuses familles
italiennes et suisses.
195 €
"GENEALOGIE DE LA FAMILLE PARENT de LANNOY, DESCENDANCE DE JACQUES
PARENT, sgr de LANNOY et de CATHERINE GALLYE, XVIe – XXIe,
HAUTE-NORMANDIE " de Henri-Louis de la Bretèche
PALA, 2007, 16 x 24, 300 p., broché, nombreuses illustrations
(portraits, faire-part, blasons...), 49 €
Originaire d'Auvergne, la famille Parent remonte à Abraham Parent, né à
Clermont-Ferrand en 1335, qualifié de «noble homme, écuyer, d'une très
ancienne et très noble extraction». Installée au XVIe siècle à Paris,
on y rencontre Guillaume Parent, alors marchand orfèvre. Ses enfants
furent à leur tour joailliers mais devinrent par la suite marchands
merciers. Au XVIe siècle, la famille Parent poursuit son ascension
sociale : Dreux Parent est élu en 1549 «Lieutenant des Enfants de
Paris, désigné pour escorter le Roi Henri II lors de son entrée dans
Paris.» Il semble que c'est ce personnage important qui donna à la
famille Parent une bonne notoriété et un statut. Dreux Parent eut trois
fils, dont l'aîné Raoul fut reconnu comme un des meilleurs avocats au
Parlement et brigua l'échevinage de Paris. Le second Nicolas fut élu
Consul des Marchands et Conseiller Secrétaire du Roi en 1574. Après
avoir été Conseiller de la Ville de Paris (1583), il termina sa
carrière comme notaire et Trésorier général des gabelles (1587). C'est
alors que la famille Parent se divisa en deux branches principales :
celle des Parent de Lannoy, venue se fixer en Haute-Normandie au début
du XVIIe siècle, et celle des Parent du Châtelet, restée à Paris. Les
Parent de Lannoy, maintenus dans leur noblesse en 1697, se sont alliés
avec les plus grandes familles de la région dieppoise et comptent
aujourd'hui plus de 2500 descendants. Cette étude généalogique prend
donc pour point de départ l'implantation de la famille Parent en
Haute-Normandie, où Jacques Parent, né en 1576, acheta la terre de
Lannoy à Sainte-Marguerite-sur-Mer. Elle recense les quelque 2500
descendants actuels du premier seigneur de Lannoy, sur 6 siècles. Table des familles étudiées et
citées
"PREUVES DE LA NOBLESSE D'AUVERGNE", de Louis de Ribier
Réédition, sous forme de CD, des 4 volumes.
Les volumes que l'auteur a consacré à la publications des preuves de la
noblesse d'auvergne, depuis la recherche générale prescrite par Louis
XIV jusqu'à la révolution, renferment les genealogies de toutes les
familles nobles auvergnates depuis la fin du Xve siècle établie d'après
les titres authentiques fournis aux généalogistes royaux.
Tome I : recherche générale de la noblesse d'Auvergne (1656-1727)
Tome II : Preuve de noblesse des pages auvergnats admis dans les
écuries du Roi (1667-1792)
Tome III : Preuve de noblesse des gentilshommes auvergnats admis dans
les écoles royales militaires (1751-1790)
Tome IV : Preuve de noblesse des demoiselles auvergnates admises dans
la maison de Saint-Cyr (1686-1793)
120 €
"L'ORDRE DES ARTS ET DES LETTRES" de Régis Singer, Préface d'André
Damien, président de l'Institut.
AL, 2006, 16 x 24 cm, 104 p., 49 €
L'ordre des Arts et des Lettres, créé en 1957, a pour objet de
récompenser les personnes qui se sont distinguées par leurs créations
dans le domaine artistique ou littéraire, ou par la contribution
qu'elles ont apportée au rayonnement des arts et des lettres en France
et dans le monde. C'est dire que son renom est prestigieux et qu'il
jouit d'une grande notoriété aussi bien auprès des artistes français
qu'étrangers.
Ayant survécu à la suppression des ordres ministériels, voulue par le
Général de Gaulle en 1963 lors de la création de l'ordre national du
Mérite, l'ordre a une très grande valeur non seulement en raison du
prestige que lui confère la qualité des personnes nommées ou promues
depuis sa création, mais aussi de par le nombre très restreint de ses
contingents.
Pour la première fois, un ouvrage est consacré à cet ordre qui va fêter
le cinquantième anniversaire de sa création.
Cette étude rassemble tous les textes nécessaires pour bien connaître
cet ordre et son histoire, mais aussi, grâce à des documents inédits,
présente la recherche esthétique à laquelle Raymond Subes, le grand
ferronnier d'art, membre de l'Institut, a dû se consacrer pour aboutir
à la création de la plus belle décoration française.
"LES CITOYENS DE BESANCON SOUS L'ANCIEN REGIME (1677-1790)" de Eric
Thiou.
CIBE, 2005, 17 x 25, 260 p., 49 €
Cet ouvrage recense tous les citoyens nommés par le Magistrat de
Besançon pendant la période française soit de 1678, date de l'annexion
au royaume de France, à 1790, année de la suppression du droit de
citoyenneté à Besançon. Cet instrument de recherches inédit intéressera
tous les chercheurs, historiens et généalogistes, en un mot, tous les
curieux de l'histoire bisontine et qu'il leur fera connaître les
richesses d'une de ses sources principales, les Archives municipales,
encore trop souvent méconnues. Table
des noms cités
"HISTOIRE DES HARAS SOUS L'EMPIRE, SUIVI DE NOTICES BIOGRAPHIQUES ET
GENEALOGIQUES (PERIODE 1806 – 1815)" de Olivier Chebrou de Lespinats.
HARA, 2005, 16 x 24, 200 p., 49 €
Le grand intérêt de cet ouvrage est de rassembler en un seul ouvrage,
l'histoire des haras et des remontes, l'organisation en amont de la
cavalerie impériale et plus de soixante dix notices biographiques, pour
la plupart inédites, d'inspecteurs généraux, de directeurs de haras et
de chefs de dépôts de remonte sous le Premier Empire.
L'ensemble de ces notices, retrouvées à l'occasion de cet ouvrage, vont
guider les lecteurs vers le monde fabuleux de l'histoire de
l'équitation et de ses officiers à travers l'épopée impériale.
Ce travail d'érudition constitue une véritable histoire des haras et
remontes, une histoire oubliée des historiens napoléoniens mais
particulièrement vivante, qui apparaît à travers l'ensemble des
biographies, animés, chacun, par une même passion : l'amélioration de
la race chevaline. Table
des familles citées
"LES GARDES DU CORPS DE LOUIS XVI, ETUDE INSTITUTIONNELLE, SOCIALE ET
POLITIQUE, DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE", par Gilbert Bodinier,
Lieutenant-colonel (E.R.), Préface de Jean Chagniot, Directeur d'études
à l'EPHE, 2005, 16 x 24, 650 p., 55 €
Des gardes du corps de la monarchie, on a gardé le souvenir de leurs
charges héroïques durant les guerres de Louis XIV et celui de la
défense de la famille royale lors des journées des 5 et 6 octobre 1789.
Comme ils avaient été peu employés pendant les guerres de Louis XV,
leur réputation se dégrada sous le règne suivant, l'opinion publique
les considérant désormais comme un corps inutile et coûteux. Leur
recrutement était largement roturier, car ce n'est qu'en 1775 que l'on
exigea d'eux un certificat de noblesse – du moins pour les simples
gardes, car les officiers appartenaient à la haute noblesse. N'ayant pu
défendre le roi au début de la Révolution, mais profondément attachés à
la monarchie, les gardes du corps émigrèrent en grand nombre et
servirent dans les corps émigrés. Cet ouvrage est le premier à utiliser
les archives de ce corps et celles de la Maison militaire du roi
détenues par le Service historique de l'armée de Terre. L'étude est
complétée par un dictionnaire biographique comportant plus de 1 700
notices.
Table des familles citées
"LES LORRAINS ET L'EMPIRE" de Alain Petiot
LORE, 2005, 17 x 25, 490 p., 49 €
Dictionnaire biographique de plus de 1500 personnages.
Pays d'entre-deux, la Lorraine a longtemps constitué un enjeu, sinon
une proie, pour la France comme pour l'Empire des Habsbourg. Il n'est
donc pas étonnant, qu'à l'instar de leurs princes, des Lorrains aient
été attirés au cours des siècles soit par le Roi, soit par l'Empereur.
Mais si l'apport de la Lorraine dans la formation de la France moderne
est bien compris dans notre histoire nationale, la part qu'elle a prise
dans les destinées de l'empire central reste mal connue.
Saint Empire romain germanique, empire d'Autriche puis double monarchie
austro-hongroise, l'Empire désigne, depuis l'abdication de Charles
Quint, les possessions héréditaires des Habsbourg de la maison
d'Autriche, devenus Habsbourg-Lorraine par le mariage du dernier duc
héréditaire de Lorraine et de Bar avec l'archiduchesse Marie-Thérèse.
Objet d'un engagement politique délibéré, asile de légitimité puis
réceptacle de fidélité, cet empire a porté, jusqu'à sa chute, l'obscure
mémoire d'une nation lorraine disparue.
Sur ces terres d'empire, de la Flandre à la Sicile, du Brisgau à la
Transylvanie, de la Bucovine à la Bosnie, des Lorrains servirent,
passèrent, vécurent ou moururent. Les plus éminents appartiennent à
l'Histoire. D'autres, plus modestes, sont tombés dans l'oubli. Mais,
pendant près de quatre siècles, ces Lorrains marquèrent de leur
empreinte une histoire qui est déjà celle de l'Europe.
Tous ces personnages, qui défilent ici comme des ombres, font revivre
cette épopée et nous révèlent la face cachée, mais non la moins
glorieuse, de l'histoire de la Lorraine.
Table des familles citées
"ORDRES ET DECORATIONS DE L'EMPIRE CHERIFIEN
AU TEMPS DU PROTECTORAT FRANÇAIS AU MAROC
1912 - 1956" de Pierre Rousseau Couronné par l'Institut
Prix 2006 du bailli comte Josserand de Saint-Priest
2005, Un volume 22 x 30 relié pleine toile verte.
Premier plat décoré et titré à l'or fin.
Jaquette illustrée couleur.
Plus de 300 illustrations couleur
pour la plupart inédites.
286 pages,65 €
S'il existe plusieurs traités de numismatique chérifienne (marocaine),
aucune étude de phaléristique chérifienne n'avait jamais été réalisée
jusqu'à présent.
Se référant systématiquement aux textes officiels et replaçant chacune
des décorations étudiées dans son contexte historique fondateur,
l'auteur nous invite à une lecture particulière de l'histoire commune
du Maroc et de la France durant toute la première moitié du 20ème
siècle. Cette histoire raconte l'œuvre généreuse de millions de
Marocains et de centaines de milliers de Français qui, par amour du
Maroc, se sont dévoués à la construction des fondations du Maroc
moderne. C'est pour eux qu'ont été créées ces décorations, ces parures
d'honneur et de gloire, venues récompenser leur dévouement, souvent
leur sacrifice, dans de belles activités humaines au service de
l'histoire franco-marocaine.
Si l'essentiel de l'ouvrage est consacré aux ordres et décorations
spécifiques de l'Empire Chérifien sur la période 1912-1956 (Ordres du
Ouissam Hafidien, du Ouissam Alaouite Chérifien, du Mérite Militaire
Chérifien, et les différentes medailles d'honneur chérifiennes),
l'ouvrage traite aussi des décorations créées ou attribuées lors des
diverses " campagnes du Maroc " qui ont servi à sa conquête d'abord, à
sa pacification ensuite, au maintien de l'ordre enfin à l'occasion de
son accession à l'indépendance.
"LES CHEVALIERS DU SAINT SEPULCRE DE JERUSALEM" (Tome II), de
Jean-Pierre de Gennes
Histoire de l'Ordre en France et Histoire de l'Ordre de 1847 à nos jours
L'archiconfrérie royale du Saint-Sépulcre et le prétendu Ordre royal
Militaire et Hospitalier du Saint-Sépulcre
CSSJ2, 2004, 2 volumes, 16 x 24, 98 €
Après avoir étudié dans un premier volume les origines et l'histoire
générale de l'Ordre du Saint-Sépulcre, l'auteur nous livre aujourd'hui
l'histoire de l'Ordre en France jusqu'à nos jours. Il a enrichi son
travail d'un catalogue donnant le catalogue biographique de quelques
2.270 chevaliers français du Saint-Sépulcre depuis les origines
historiques jusqu'en 1949.
En complément, l'auteur reprend l'histoire générale de l'ordre depuis
1847, date à laquelle il s'était arrêté dans son premier volume,
jusqu'à nos jours.
Dans une seconde partie, l'auteur étudie en détail et rénove l'histoire
de la confrérie et depuis l'Archiconfrérie parisienne du Saint-Sépulcre
qui eut des liens privilégiés avec les chevaliers du Saint-Sépulcre. Il
la poursuit par une étude critique inédite du prétendu Ordre royal
français, militaire et hospitalier du Saint-Sépulcre, faisant enfin
justice de la distinction qui le sépare du véritable Ordre du
Saint-Sépulcre. Il clarifie également l'épineux problème des
décorations propres à ces deux distinctions et qu'il convient de bien
distinguer des décorations du véritable Ordre du Saint-Sépulcre.
L'étude se termine par le catalogue des membres de l'archiconfrérie et
de l'Ordre royal au XVIIIe siècle et sous la restauration.
"LES CHEVALIERS DU SAINT-SEPULCRE DE JERUSALEM" (Tome I), de
Jean-Pierre de Gennes
SSJ, 1995, 482 p., broché, 15,5 x 23 cm, 45 €
Ce livre retrace en premier lieu les origines de l'ordres des
chevaliers du
Saint-Sépulcre. Très abondamment documentée, cette étude donne au
lecteur
tous les éléments de la critique. Tirant sa source des croisades, il ne
prend
pourtant son essor qu'au XIVe siècle. Dans le souci constant du
service, il
évolue au cours des siècles. Mouvement d'église, il perpétue
aujourd'hui
encore l'idéal de la chevalerie au service des chrétiens de terre
sainte.
"REPERTOIRE des PROCES-VERBAUX
des preuves de noblesse des JEUNES GENTILSHOMMES ADMIS AUX ECOLES
ROYALES MILITAIRES (1751-1792)" de Stéphane Geoffray
reprint de l'édition de 1984
un volume 16 x 24 cm, broché, XII + 186 pages, 49 €
Cet ouvrage devenu introuvable, donne la liste des admis, la date et le
lieu de leur naissance, l'année de leur admission, l'indication du
numéro ou de la page du procès-verbal des preuves de leur noblesse
présenté au Roi par M. d'Hozier de Sérigny, avec des documents inédits.
Au total, ce sont plus de 2.400 noms de familles d'officiers nobles
sous l'ancien régime dont les descendants trouveront ici la source
d'une preuve de noblesse indiscutable.
"LES NOBLES CHANOINES du Chapitre d'AINAY de LYON (1685-1789)
(Historique et Preuves de Noblesse" de Eric THIOU
NCAL, 2004, 17 x 24, env 220 p., 49 €
Histoire et répertoire prosopographique du chapitre noble d'Ainay de
lyon entre 1685 et 1789. Ce livre apporte une contribution majeure à
l'histoire peu connue de ces chapitres au recrutement exclusivement
nobiliaire. Il renseignera en outre les historiens et généalogistes au
travers des nombreuses preuves de noblesse données pour presque chaque
chanoine, ainsi qu'à tout ceux qui s'intéressent à l'histoire lyonnaise. Table des noms cités
"LE CLOS DE VOUGEOT au temps de la famille Ouvrard" de Pierre Garelli.
CVO, 2004, 17 x 25 cm, 176 p., 29,50 €
De 1818 à 1861, le Clos de Vougeot appartint à Jules Ouvrard, notable
alors bien connu de la Côte D'or, et plus encore des vignerons et
amateurs de vin de Bourgogne : outre le célèbre Clos, il possédait
rien moins que l'entière Romanée-Conti et un gros morceau du
Chambertin. À sa mort, son héritage fut recueilli par ses neveux et
nièces, qui durent en aliéner l'essentiel pour garder le seul Clos de
Vougeot, qu'ils continuèrent d'exploiter pendant près de trente ans.
Ce livre vient apporter un matériel original, qui renouvelle la
question. Table
des familles citées
"ARMORIAL DES PRINCES, DUCS, COMTES, VICOMTES, BARONS TITRES PAR LE
PAPE, entre 1815 et 1890 " de E. de Magny
ATP, 2004, un volume broché de 104 p., format 16 x 24 cm, 45 €
Réédition de cet ouvrage devenu introuvable. Il donne très précisément
la liste des familles titrées par le Pape, avec une notice historique
et genealogique pour chaque famille.
"UN ARMORIAL BRETON DU XVIIe SIECLE", extrait d'un registre-armorial de
M. de La Bourdonnaye, annoté par M. de Langle
ABLB, 2004, 16 x 24, 90 pages, 29 €
Au delà d'un résumé d'une partie des arrêts de la réformation de
noblesse en Bretagne en 1668-1671, ce manuscrit offre un grand nombre
de variantes et de commentaires, fait de la main d'un des commissaires
les plus compétent. Ces détails viendront compléter un travail qui
n'avait pu être mené à son terme pendant le laps de temps assez court
que durèrent les réformations.
"FILIATIONS BRETONNES" de Henri Frotier de La Messelière
CDFB, d'après l'édition de 1912-1924 en 5 volumes, CD-ROM PC/MAC, 135 € Table
des noms cités.
" ARMORIAL DE LA NOBLESSE DU PERIGORD ", d'Alfred de Froidefond de
Boulazac
ANP, a partir de l'édition de 1891, 1 vol. 17 x 24 cm, 464 p., (Table
des noms cités) sous forme de CD-ROM PC/MAC, 45 €
" DICTIONNAIRE HISTORIQUE, GENEALOGIQUE ET HERALDIQUE DES ANCIENNES
FAMILLES DU BERRY " de M.H. de Maransange
AFB, 2 vol 22 x 28, 588 p., (Table des noms cités) d'après l'édition de
1926 en 2 volumes, sous forme de CD-ROM PC/MAC, 65 €
"LIVRE DE RAISON D'UN NOTABLE ET ACADEMICIEN AIXOIS, Casimir de
Barrigue, comte de Montvalon
(1774-1845)"
Présenté par Claude-Alain Sarre, préface de Sylvie Mouysset, maître de
conférences d'histoire moderne à l'université de Toulouse-Le Mirail.
2003, format 17 x 25, broché, couverture couleur, 276 pages, 39 €
Ce Livre de Raison est une autobiographie où l'auteur, Casimir de
Barrigue de Montvalon, se souvient de son passé et le reconstruit à sa
façon ; c'est aussi l'histoire de sa famille, de ses ancêtres et de son
patrimoine. Il a vécu l'Ancien Régime, la Révolution, treize années
d'émigration, l'Empire, la Restauration, la Monarchie de Juillet :
personne ne sort sans cicatrices de cinq révolutions et de deux
épidémies de choléra. Maire de Vitrolles, il a fondé, avec quelques
amis,
l'Académie d'Aix-en-Provence, toujours vivante en 2004. Avec lui, nous
suivons tous les moments de sa longue et passionnante vie, en sa chère
Provence.
A Turin, à Coblentz, à Sion en Valais, à Venise, à Paris, à Aix
surtout, il peint avec minutie, souvent sans pitié, toujours avec
talent, les sociétés où il a vécu, les femmes qu'il a aimées ou
supportées, les hommes connus et inconnus qu'il a fréquentés, appréciés
ou haïs.
Ses aventures, ses péripéties sont décrites dans un style d'une qualité
exceptionnelle : on est charmé par la richesse et la précision de son
vocabulaire, par l'architecture élégante et claire de ses phrases,
comme Stendhal lui-même avait été séduit, à Marseille en 1806, par cet
homme jeune dont il notait dans son Journal : «Il a décidément beaucoup
d'esprit ; je crois qu'il doit soupçonner en moi une âme qui pourrait
peut-être le comprendre». Le lecteur actuel de ce Livre de Raison peut
aisément comprendre Casimir de
Montvalon.
Ce manuscrit, resté inédit depuis deux siècles, a été confronté à de
nombreux documents d'archives, publiques et privées, dont la présence
ici aide à l'apprécier comme il convient Table
des noms cités.
"ARMORIAL HAUT-ALPIN" de Jean Grosdidier de Matons.
ARHA, INEDIT, 2003, 650
pages, 21 x 27 cm, 98 €
Plus de 450 familles étudiées. Donne quantité d'informations inédites,
puisées dans les dépôts d'archives, en particuliers les fonds notariaux
et les papiers de famille des départements concernés.
(Extraits de l'avant-propos) L'Armorial haut-alpin a pour objet de
combler un vide dans les armoriaux français. D'abord intégrée au
Royaume de Bourgogne, peu à peu contrôlée par les Dauphins, la région
haut-alpine est également tournée vers la Provence, à qui elle a fourni
de nombreux immigrants.
L'Embrunois n'est devenu définitivement dauphinois qu'au XIIIème
siècle, et Tallard a attendu 1503 pour le devenir à son tour. De ce
caractère hybride a résulté une certaine négligence de la part des
rédacteurs d'armoriaux. Ceux de Provence et du Comtat ont peu traité
les familles haut-alpines, vues comme dauphinoises. Le principal
armorial de Dauphiné, celui de Rivoire de La
Batie, s'est concentré sur le Grésivaudan, le Viennois ou l'Oisans et a
négligé la partie méridionale de la province.
Pourtant, les sources disponibles sont abondantes et les archives
départementales disposent d'un guide récent, modèle du genre. On doit
citer ici les principaux auteurs de travaux genealogiques sur la
région, même si certains de ces travaux ont été utilisés
essentiellement pour des recoupements. Car les neuf dixièmes de cet
armorial sont basés sur des documents originaux et non sur la recopie
passive de sources imprimées antérieures……
Table des familles citées Avant
propos de
l'ouvrage
"NOTICES SUR LES FAMILLES NOBLES DE LA POLOGNE" de Seweryn, comte Uruski
NOFP, 2003, réédition du livre de 1862, 325 pages, dont 3 planches de
blasons en couleur, 15 x 22, 49 €
Nombreuses sont les familles d'origines polonaises, habituées en
France, et considérablement gênées par l'obstacle de la langue. Pour
pallier cela, l'ouvrage que nous rééditons a le mérite d'avoir été
écrit en français, langue internationale par excellence, à une époque
ou la Pologne n'existait plus en tant que nation. (herbarz, armorial en
fin d'ouvrage)
Pour toutes les familles nobles ou titrées (Prince, Comte, Baron…) une
notice très développée est donnée, retraçant l'historique de la
famille, donnant l'origine et la date d'octroi (éventuel) des titres,
les armoiries, et nombres d'informations qui combleront autant le
généalogiste que l'historien… Table
des familles citées
"ARMORIAL DE FLANDRE, ARTOIS, PICARDIE, CHAMPAGNE
et pays circonvoisins" de Robert de Saint-Loup.
Un CD-ROM pour PC/MAC contenant l'armorial sous forme de fichier PDF
"searchable",
40 €
Cet armorial inédit recense plus de 10.000 blasonnements de familles ;
cette liste non exhaustive s'appuie sur des documents anciens,
manuscrits ou imprimés, et sur les témoignages de nombreuses familles.
Il concerne les provinces suivantes : Flandre, Artois, Picardie,
Champagne, Hainaut, Rethel, Ponthieu, Valois, Vermandois, Clermont, et
les évêchés de : Cambrais, Tournai, Amiens, Chalons, Reims, Saint-Omer,
Boullongne, Soisson, Laon, Thérouanne, Troyes, Senlis, et Beauvais.
Ainsi que la principauté de Joinville et les duchés de Bouillon et de
Guise.
Certains lieux sont aujourd'hui en partie ou totalement intégrés au
territoire du Royaume de Belgique. Table
des familles citées
"ARMORIAL DE LORRAINE" de Robert de Saint-Loup.
CD-ROM pour PC/MAC contenant l'armorial sous forme de fichier PDF
"searchable" : 50 €
Cet armorial inédit recense plus de 3.000 blasonnements de familles ;
cette liste non exhaustive s'appuie sur des documents anciens,
manuscrits ou imprimés, et sur les témoignages de nombreuses familles.
Il est illustré de plus de 120
ex-libris, fers de dorure, gravures … inédits.
Il concerne les provinces suivantes : Lorraine, Bar, Luxembourg,
principauté de Joinville, Salm. Inclus : table de recherche par meuble
et par cimier, devisaire. Table
des noms cités.
"REPERTOIRE DES RESSOURCES GENEALOGIQUES ET HERALDIQUES DU DEPARTEMENT
DES MANUSCRITS DE LA
BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE" de Jean-Philippe Gérard.
RERE, 2003, 17 x 25 cm, 400 p., 65 €
Le "Gérard" est le résultat du dépouillement de l'ensemble des
catalogues : fonds français et latin, collections d'érudits et de
provinces,
langues occidentales. Il présente une large sélection de références
touchant
à la genealogie et à l'heraldique.
Précédés d'une présentation détaillée du fonctionnement du Département
dont le lecteur novice tirera profit, et d'un historique du Cabinet des
titres,
ce sont plus de 13.300 manuscrits et 640 références bibliographiques,
classées
par thèmes (extraits de registres paroissiaux et de notaires,
anoblissements,
armorial, nobiliaires français et étrangers, recherches de noblesse,
ordres
de chevalerie, preuves de noblesse, monographies familiales, etc.) qui
permettront non seulement au généalogiste et à l'héraldiste de tirer le
meilleur parti des ressources conservées en ce lieu, mais encore le
biographe,
le prosopographe, l'historien local et celui des grandes institutions
de
l'Ancien Régime.Table des noms cités
"Le POHER, Finistère et Côtes-du-Nord, ses monuments, ses fiefs,
ses manoirs et leurs possesseurs" du Vicomte Henri Frotier de la
Messelière.
POH, 90 p., 15 x 24 cm, 25 € Table
des noms cités.
"LA NOBLE CONFRERIE & LES CHEVALIERS DE SAINT-GEORGES au comté
de Bourgogne sous l'ancien régime et la révolution" de Eric Thiou.
NCSG, 2002, 14,5 x 21, 228 p., 37 €
14 x 20 cm, 235 p., 37 €
La confrérie de Saint-Georges était l'une des rares associations
volontaires de gentilshommes d'une province française sous l'Ancien
Régime. L'étude de cette confrérie est faite en trois temps. Tout
d'abord l'étude critique de témoignages sur la confrérie, puis l'étude
du rôle politique de la confrérie à travers un procès avec le parlement
de Besançon, et l'attitude des chevaliers de Saint Georges lors de la
Révolution. Enfin les statuts de la confrérie et la liste des
chevaliers sont analysées sous tous leurs aspects. En conclusion,
l'instruction de l'intendant, le procès et l'analyse sont comparés pour
tenter de caractériser la dichotomie et le conflit entre deux types de
noblesse en Franche-Comté et en France au XVIIIe siècle. La dernière
partie de ce livre consiste en un dictionnaire prosopographique de tous
les chevaliers de Saint-Georges qui vécurent entre 1679 et 1789.
Table des noms cités. Présentation de la
Confrérie de Saint-Georges
"ABREGE CHRONOLOGIQUE
D'EDITS, DECLARATIONS, RÈGLEMENTS, ARRÊTS & LETTRES PATENTES
DES ROIS DE FRANCE DE LA
TROISIÈME RACE, CONCERNANT LE FAIT DE NOBLESSE, PRECEDE D'UN DISCOURS
SUR L'ORIGINE DE LA NOBLESSE, SES
DIFFERENTES ESPÈCES, SES DROITS & PREROGATIVES, LA MANIÈRE D'EN
DRESSER LES PREUVES, & LES CAUSES DE SA
DECADENCE" de L.N.H. CHERIN, Paris, Royez, 1788. Réédition 2002, 150
p., 17 x
24 cm, 49 €
L'étude la plus complète sur le droit nobiliaire et les preuves de
noblesse depuis le «Traité de la Noblesse» de La Roque. Compilé par
Chérin, généalogiste des Ordres du Roi, à la veille de la Révolution,
cet
"Abrégé" nous laisse un témoignage unique sur un droit ayant disparu et
nous livre quantité d'informations sur les anciennes institutions que
l'on trouverait difficilement ailleurs. Excellent recueil qui a été
l'objet de critiques sévères de la part de Maugard. (voir ce titre)
EXTRAITS DE L'OUVRAGE : "Les
pages du
Roi" et "Edit du
Roi portant
création d'une noblesse militaire"
"Les ORDRES DE CHEVALERIE et les DECORATIONS" de André Damien, membre
de l'Institut
OCD, 2002, 22 x 30, relié, nombreuses illustrations couleur, 190 p.- 59 €
Le texte, passionnant et très complet, ainsi que les illustrations
présentées
dans ce livre constituent autant de témoins rares de ce lien complexe
qui unit
depuis le moyen-âge les puissances aux hommes qui leur furent dévoués
et surent le prouver par un acte exemplaire
méritant distinction.
Y sont traités les ordres médiévaux et leurs survivants
modernes, les ordres royaux, ceux de la Révolution, de l'Empire, de la
Restauration, de la Monarchie de juillet, de la IIe République, du
Second
Empire, et de la IIIe République, l'Ordre de la Légion d'Honneur,
l'Ordre de
la Libération et l'Ordre national du Mérite, les medailles de la grande
guerre et de la seconde guerre mondiale, et enfin les medailles
d'honneur. L'ouvrage se termine par un chapitre spécial sur l'art et la
manière de porter
les décorations. Lire l'article sur la
noblesse de la
Légion d'Honneur et les armoiries
"INSIGNES ET DECORATIONS DE L'ORDRE EQUESTRE DU SAINT SEPULCRE DE
JERUSALEM"
du Comte J.P. de Gennes, préface d'André Damien, de l'Institut.
IDSS, 2002, un volume broché, 17 cm x 25 cm, 120 p., couverture
pelliculée, illustrations couleur, 37 €
Le Comte de Gennes livre aujourd'hui au public le résultat d'une longue
et
minutieuse recherche sur les insignes et décorations de l'Ordre
Equestre du
Saint-Sépulcre de Jérusalem, des origines à nos jours. Ce travail
clarifie un
sujet dans lequel les auteurs ont longtemps, et continuent
malheureusement
aujourd'hui, à mélanger les insignes et décorations qui appartiennent
au véritable
Ordre hiérosolimitain du Saint-Sépulcre avec ceux du prétendu «Ordre
Royal
hospitalier, religieux et militaire du Saint-Sépulcre» qui a existé en
France au XVIIIe siècle et sous la Restauration. On trouvera donc dans
le présent
ouvrage tout ce qui touche à l'ordre hiérosolimitain, c'est à dire le
seul ordre de Saint-Sépulcre, toujours existant et officiellement
reconnu par
le Saint-Siège et les Etats.
"ETAT DES DEBOUTES LORS DES REFORMATIONS DE LA NOBLESSE DE BRETAGNE,
1668-1671"
ETDE, 2002, 80 p., 16 x 24 cm, 25 €
Etabli à partir de plusieurs manuscrits originaux, cette liste recense
les
familles qui ont été condamnées à 400 livres d'amende pour usurpation
de
noblesse. La sentence pouvait paraître un peu sévère quand on sait que
dans
certaines familles, une branche était maintenue et l'autre pas. Nombre
de ces
déboutés le furent faute d'avoir pu produire les pièces nécessaires
(délais
trop courts, pertes, destruction, frais pour se les procurer, tels que
les
extraits de la chambre des comptes de Nantes). Nombreuses seront celles
qui
feront régulariser leur situation par l'intendance. Cette liste a enfin
le
mérite de nous donner un "instantané" de la "Gentry"
bretonne sous Louis XIV, en voie d'agrégation à la noblesse. Table
des noms cités. Préface de l'ouvrage
"LES ORDRES DU ROI", du comte de Colleville et Francois
Saint-Christo
Réédition de l'édition de 1925. Ce livre devenu introuvable traite des
ordres royaux : l'Etoile, Saint Michel, Saint Esprit, Saint Louis,
Saint
Lazare, Mérite Militaire... Outre un historique, il donne la liste de
tous les
chevaliers par promotion. Un volume relié toile bleu roi, titre doré à
l'or
fin, 15 x 24 de 350 p., 50 €
"GENEALOGIES ENTRE LEON ET
TREGUIER", de Hubert de LANGLE,
GLT, broché, 16 x 24 cm, 220 p., 39,50€
L'auteur livre ici une partie des matériaux qu'il a amassés pendant 25
années
de recherches sur les familles de "nobles bourgeois" du pays de
Morlaix. Pour chaque famille étudiée, une genealogie a été établie à
partir des sources publiques, mais aussi à partir de nombreuses
archives
privées, d'ordinaires inaccessibles. L'ouvrage fourmille d'informations
inédites et est agrémenté d'une Table
des noms cités. Familles étudiées :
Barazer, Le Bihan, Le Blonsard, Coëtanlem, Cremeur (de), Gourio, Gratz
(de),
Guernisac (de), Guillotou, Guillouzou, La Forest (de), Le Lagadec, Le
Marant,
Plessis (du).(Table des noms cités)
"NOUVEAU NOBILIAIRE DE FRANCE" de Louis d'Izarny-Gargas,
Jean-Jacques Lartigue et Jean de Vaulchier - 1998/1999
Recueil de preuves de noblesse - Notices de 30.000 familles nobles
d'Ancien
Régime : origines, armes, preuves de noblesse et sources. Dans chacune
de ces
notices on trouvera le lieu d'origine de la famille, les preuves de
noblesse et
genealogies, leurs cotes dans les fonds d'archives ou la référence
bibliographique, souvent les armes et quelques renseignements
genealogiques
permettant d'identifier le bénéficiaire de l'acte récognitif. Ce
nobiliaire
vient s'inscrire dans la lignée des grandes publications de références
comme
le Grand Armorial de France, le Père Anselme, Frotier de la Messelière,
ou
encore comme les travaux bibliographiques de Gaston Saffroy et ceux du
colonel
Arnaud.
La série - NNF123 - 3 vol 19 x 27 reliés skyvertex bleu -
275 €
"NOUVEAU NOBILIAIRE DE FRANCE"
de Louis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue et Jean de Vaulchier -
1998/1999
CDNNF - Les trois tomes en 1 seul CD ROM compatible PC, soit 1950 p.,
145 €
"LE TRAITE DE LA NOBLESSE" de Gilles-André de La
Roque - Réédition de l'édition de 1678
TN - 1 volume 17 x 24, broché - 638 p. - 70 €
Ouvrage présenté et annoté par H.-M. de Langle & J.-L. de
Tréourret de
Kerstrat et complété par les notes, observations et corrections
inédites de
Charles d'Hozier, conseiller et généalogiste du Roi, relevées sur son
exemplaire personnel. Référence parmi les références, le " traité de
la noblesse " édité pour la première fois en 1678, a toujours été
considéré comme l'étude nobiliaire la plus complète et la plus sérieuse
jamais parue. Depuis plus de deux siècles, la majorité des auteurs
ayant
publié une étude sur la noblesse ont puisé dans ce livre la plus grande
partie des informations constituant leurs recherches. Ce recueil
constitue, sans
nul doute, la plus intéressante des sources imprimées sur la noblesse
et sur
son origine.(table des noms et des sujets traités)
"L'HÔTEL DES GENTILSHOMMES BRETONS" de Henry-Melchior de
Langle
HGB - 2000 - 1 volume 17 x 24, broché - 110 p. - 25,92 €
Dans cette excellente étude sur les institutions nobles au XVIIIe
siècle, le
lecteur découvrira avec beaucoup d'intérêt l'exemple de Rennes où avait
été édifié l'hôtel des gentilshommes bretons. Plusieurs annexes sont
insérées dans cet ouvrage, parmi lesquelles les chercheurs pourront
découvrir
par exemple un état des boursiers ou plusieurs listes de jeunes
gentilshommes
admis.
"LES ORDRES DE SAINT LAZARE de JERUSALEM ET DE NOTRE DAME DU MONT
CARMEL AUX XVIIe ET XVIIIe SIÈCLES" de Henry-Melchior de Langle et
Jean-Louis de
Tréourret de Kerstrat
SLZ - 17 x 24, broché - 442 p. - 39 €
Entre 1610 et 1788, près de 2.000 gentilshommes ont été reçus
chevaliers
dans les ordres royaux, militaires et hospitaliers de Saint-Lazare de
Jérusalem
et de Notre-Dame du Mont-Carmel. Quels étaient ces ordres et ces
chevaliers ?
C'est ce à quoi ont voulu répondre les auteurs en publiant les notices
de ces
2.000 chevaliers au cours de cette étude genealogique, historique et
géographique des ordres, où sont indiquées notamment preuves de
noblesse et
filiations pour la plupart des chevaliers. Un index alphabétique de
5.000 noms
répertoriés font de ce livre un véritable dictionnaire de l'ordre sous
l'ancien régime. (Table
des noms cités)
"REMARQUES SUR LA NOBLESSE"
d'Antoine Maugard
RN - Réédition en fac-similé - 336 p. - 38,11 €
Etude très précieuse sur les preuves de noblesse complétée par des
analyses
très documentées sur la dignité de chevalier et la valeur du titre
d'écuyer.
Ce livre dévoile des projets de réforme du second ordre : établissement
d'une caisse de secours pour la noblesse pauvre, réforme des
anoblissements,
création d'une chambre heraldique. Voir
la préface de ce livre.
"DES QUALIFICATIONS NOBILIAIRES" de Jean-Louis de Tréourret de Kerstrat
QN - 1997 - 1 volume 17 x 24, broché - 78 p. - 21,34 €
A la lumière de nombreux documents ayant servi à démontrer
l'appartenance à
la noblesse, l'auteur a étudié la plupart des qualifications utilisées
sous
l'ancien régime - écuyer, chevalier, noble homme, noble, messire,
monsieur,
maistre, bachelier, valet, damoiseau, herr & freiherr... - leur
usage, la
fréquence de leur utilisation et leur véritable signification.
"ARMORIAL BRETON", de Guy Le Borgne
GLB, Réimpression de l'édition de 1667, 16 x 24, 300 p., 50 €
Donne le blasonnement d'environ 3.000 familles bretonnes mais aussi
fourmille
d'informations inédites qui n'avaient pas été retenues par les érudits
du
XIXe (notamment Potier de Courcy...). Pour la première fois, un auteur
avait réuni en un seul ouvrage, toutes les armoiries dont il avait pu
avoir connaissance et quantité de détails intéressants l'histoire
sociale, cela pour les évêchés de Léon et Tréguier, mais aussi pour
toute la province. Peu de noms lui ont échappé et à cet égard,
l'armorial donne une photographie de la population armoriée, à savoir
majoritairement la bourgeoisie et la noblesse, à la veille des
réformations colbertiennes.
Nous avons donc sous les yeux le tableau vivant d'une société, certes
hiérarchisée, mais encore peu rigidifiée, connaissant de nombreuses
passerelles pour accéder ou s'agréger au second ordre... et d'autres
pour déroger. (Préface de
l'ouvrage)
"La NOBLESSE BRETONNE aux XVe et XVIe siècles", du Comte R. de
Laigue
NBL - Réimpression de l'édition de 1902, deux volumes 17 x 23; reliés
skyvertex, 95 €
Concerne principalement l'ancien évêché de Vannes. Outre un
introduction sur
les anciennes institutions, il donne la liste des participants aux
réformations
et aux montres. Importante Table
des noms cités. (Préface de l'ouvrage) (Table
des noms cités)
"CES MESSIEURS DE MORLAIX, Les Coëtanlem" de Hubert de LANGLE
MM2, 1998, 1 volume, broché, 224 p., 30,20 €
Tout puissants à la Renaissance, régnant sur la Manche et l'Atlantique,
traitant avec les ducs et les rois, les Coëtanlem connurent ensuite une
éclipse ; puis sombrèrent peu à peu dans l'oubli. Ils vécurent alors
des
fortunes diverses, du tabellion au gentilhomme, en restant enracinés
dans le
pays de Morlaix. Chaque chapitre de cette étude éclaire un point
particulier
de l'histoire locale. Une genealogie complète est donnée en fin
d'ouvrage. (Table
des noms cités)
"DEGUSTATION DU VIN A TRAVERS LA LITTERATURE FRANCAISE" de K. Ogura.
OGUR, 2004, 16 x 24, 130 p., 19 €
« Qu'un ami venu de loin vous conduise dans les replis de votre propre
culture est chose rare, et précieuse d'autant plus.
Chaque civilisation possède ses domaines privilégiés, ses coins secrets
plus riches et mieux défendus, ses trésors sans équivalents. Ce seront,
par exemple, les arts du bouquet et de la calligraphie, au japon, ou
bien l'humour littéraire en Angleterre, ou encore les églises
médiévales, les châteaux et les terroirs vinicoles dans notre France.
(...)
Comme on aimerait que, d'une culture à l'autre, un érudit aussi fin et
passionné que l'ancien représentant du Japon en France conduise le
lecteur mondial à travers les plus grandes réussites des civilisations.
Le phénomène est assez rare - quel Français sera capable de déployer le
poème du rit et du saké, ou bien celui du thé, dans ses manifestations
créatrices japonaises ? - pour qu'il faille combler de remerciements
l'auteur de cette promenade littéraire dans nos très chers pays du vin,
en tant que guide et messager du « Soleil Levant ».
Alain Rey
"LA NOBLESSE D'ANCIEN REGIME EN LIMOUSIN", du général Jean
du Verdier
NARL, 2000, broché, 224 p., 17 x 24 cm, 36,59 €
A la présentation genealogique des nobiliaires traditionnels l'auteur
substitue une étude méthodique d'événements qui aide à comprendre la
vie
sociale sous l'Ancien Régime et renseigne sur le statut des familles.
Sans
prononcer de jugements péremptoires sur la qualité de telle ou telle
famille
il se propose seulement d'expliquer la réalité nobiliaire en Limousin
avant la
Révolution et de fournir des références aux chercheurs ou aux curieux,
à
charge pour eux de les relier à l'histoire des lignées qui les
intéressent.
Table
des noms cités.