|
|
|
"LES GRANDES FAMILLES : LES GUISES" d'Henri Pigaillem
2012, 15 x 24, 518 pages, 24,90 €
Les Guises, qui régnèrent longtemps en maîtres sur les affaires
politiques de la France, connurent une ascension foudroyante sous le
règne d'Henri II et devinrent tout-puissants sous celui de François II.
Ils se rendirent célèbres en se faisant les champions de la cause
catholique et en déclenchant la première guerre de Religion. Leur
illustre maison était originaire de Lorraine et se déclarait issue de
Charlemagne. Le plus célèbre de ses princes, Henri le Balafré, paya de
sa personne ses prétentions à la couronne : il mourut assassiné à Blois
sur ordre d'Henri III. L'aventure des Guises ne s'acheva pas sur ce
fameux épisode ni sur l'avènement de leur nièce et cousine Marie Stuart
au trône d'Ecosse puis de France.
Elle se poursuivit avec ceux que leurs contemporains nommèrent "les
petits Guises": Charles, amiral du Levant, héros du siège de La
Rochelle ; Henri II, impliqué dans plusieurs complots contre Mazarin,
proclamé roi de Naples ; Marie, mécène du compositeur Marc-Antoine
Charpentier. Autour du rameau principal, gravitèrent encore
d'innombrables rejetons: les cardinaux Jean et Charles de Lorraine,
fins esthètes, qui jouèrent un rôle considérable dans la lutte
impitoyable contre les protestants.
Henri Pigaillem retrace avec brio la saga de cette dynastie princière,
avide de pouvoir et d'honneurs.
"LES PREUVES DE NOBLESSE AU XVIIIème SIECLE" de Benoit de Fauconpret
2012, 18,75 x 13, 272 pages, 39 €
Lors de la parution de son premier écrit sur le sujet, en 1999,
l'auteur tentait pour la première fois de faire le point de façon
exhaustive sur les places réservées à la noblesse dans la France
d’Ancien Régime, et sur les preuves nécessaires pour y être admis.
Cette étude, vite épuisée, revient aujourd’hui dans une version revue
et largement augmentée. Elle répertorie 197 institutions (5 de plus que
dans la première édition) qui relèvent de domaines très variés : ordres
de chevalerie et confréries nobles, honneurs de la cour, maisons
civiles et militaires du roi et des princes, places d’officiers dans
l’armée et la marine, établissements d’éducation pour les jeunes
gentilshommes et demoiselles,
chapitres de chanoines et de chanoinesses nobles, administrations
provinciales et locales... Pour chaque institution,
ce recueil présente son organisation, sa composition, les preuves de
noblesse requises, les sources dont on dispose. Ce travail très complet
est précédé d’une introduction générale sur la façon dont se faisaient
les preuves de noblesse (en particulier devant les généalogistes
royaux), mais aussi d’une étude qualitative et quantitative sur
l’évolution des places nobles et du recours aux preuves de noblesse
tout au long du XVIIIe siècle. L’auteur : diplômé de Sciences-Po Paris,
a déjà publié plusieurs livres et articles sur des institutions de la
France d’Ancien Régime, en lien, avec l’histoire de la noblesse.
"CLEFS POUR UNE SOMME" de Hervé PINOTEAU et Patrick VAN KERREBROUCK
2012, 298 pages, 90 €
Voici l’indispensable complément aux deux premiers volumes relatifs à
la symbolique de l’État français parus en 1998 et 2003. État le plus
vieux de l’Europe et sans doute du monde avec le Japon, du fait de son
origine sous clovis. Avec 1332 pages et 24 planches en couleurs de
format A4, ces volumes ont évoqué les éléments symboliques de nos
diverses traditions
politiques. cérémonies, sacres, investitures, armées de terre et de mer
ont donné lieu à un vaste panorama sur les insignes du pouvoir
(couronnes, sceptres, épées, vêtements…), les armoiries des souverains
et de leurs proches, les sceaux du royaume, des empires et des
républiques,
les drapeaux et les pavillons à la mer.
Aucun ouvrage de cette ampleur n’a été produit jusqu’ici.
L’étude de tous ces éléments à travers un millénaire et demi a permis
des découvertes et de nouvelles explications.
Le texte accompagné de milliers de notes est suivi de la liste des rois
et des reines, de tableaux généalogiques des dynasties, d’une
chronologie générale des événements d’importance, d’une liste complète
et documentée de tous les sacres, couronnements et investitures avec
dons d’insignes aux carolingiens, capétiens et Napoléon dans tous les
pays du monde (en France, mais aussi de constantinople à
Rio-de-Janeiro), sans oublier toutes les cérémonies de ce genre qui ont
eu lieu à Arles, en Normandie, Bretagne, Dauphiné, Guyenne, corse…
Pour s’y retrouver, même dans ce troisième tome avec ses longs addenda,
il fallait aider le lecteur. Ce fut le travail de Patrick Van
Kerrebrouck, généalogiste des dynasties royales françaises, donnant
l’index général, les sources et la bibliographie,
cette dernière comprenant dans les 4000 titres pour les seuls imprimés.
Tout fut normalisé par Michel Popoff, conservateur en chef honoraire de
la
Bibliothèque nationale de France, et enfin mis en page par Jean de
Vaulchier, artiste confirmé en la matière.
C’est donc la conclusion d’un travail effectué durant des dizaines
d’années !
Hervé Pinoteau est membre d’académies et de sociétés savantes dans dix
pays. Il a publié depuis 1954 des livres et des articles sur la
symbolique
des dynasties françaises et des divers régimes politiques de sa nation,
insignes du pouvoir, armoiries, sceaux, drapeaux et pavillons de
marine. Patrick Van Kerrebrouck est le maître d’œuvre et souvent
l’auteur des tomes de la Nouvelle histoire généalogique de l’auguste
maison de France qui paraît depuis 1987.
"DICTIONNAIRE D'HERALDIQUE - 2012" de Jean Paul Fernon
2012, 16 x 24, 330 pages, 27 €
Le blason, dont le port est libre sous réserve du droit des tiers, est
à présent largement répandu, non seulement dans les familles où il se
transmet comme le nom, mais également dans l'industrie, le commerce,
les communautés nationales, sportives, associatives et municipales.
Symbole d'identification à un groupe social, esthétique par définition,
il n'a pas pu être éliminé par les logos et les graphes dont la laideur
et le mauvais goût,
dans bien des cas, n'a que l'ignorance pour excuse….
De tout temps, blasonner a signifié célébrer et parler beau langage.
Encore convient-il de l'apprendre. C'est ce que cet ouvrage propose. Il
ouvre, à ceux qui en prendront la peine, la voie à des connaissances et
des satisfactions d'honnête homme.
C'est là une raison qui en passe bien d'autres.
Environ 1800 termes de vocabulaire et 1200 dessins dans ce dictionnaire
analogique très complet permettent aux profanes de mieux comprendre
la science héraldique et aux initiés de parfaire leurs connaissances
"NOBILIAIRE ET ARMORIAL DE BRETAGNE (Tome II)" de
Pol POTIER DE COURCY
2012, 16 x 24, 324 pages, 28,5 €
Edité, remanié et réédité tout au long de la deuxième moitié du XIXe
siècle (jusqu’en 1895) ce Nobiliaire et Armorial est un des monuments
de l’héraldique et de la généalogie de la Bretagne ancienne. Cette
nouvelle édition, entièrement recomposée, présente quatre tomes (trois
disponibles, le dernier à paraïtre en mars 2012). Elle est formée des
trois tomes du Nobiliaire « stricto sensu » habituellement réédités,
augmentés d’un quatrième reprenant la seconde partie du tome III de
l’édition de 1890, — souvent tronquée ou oubliée —, qui se rapporte
notamment aux nombreuses listes de titulaires de charges personnelles
dans la Bretagne d’Ancien Régime. Le tome II comprend les lettres F à M
; (Le Tome III, complétant
cette approche inédite en 4 volumes paraîtra dans quelques semaines !!!
Pensez à le réserver dès maintenant.)
"PETITES HISTOIRES DE GENEALOGISTES" de Jean Marie, Mathieu et Cécile
ANDRIVEAU
2011, 14 x 22, 267 pages, 17 €
Créées en 1830 pour épauler les notaires, les Archives généalogiques
Andriveau sont la plus ancienne étude de généalogie successorale au
monde.
Personne ne peut imaginer que, derrière leurs murs, se jouent de
véritables enquêtes de détective. Retrouver l'héritier qui s'ignore,
aboutir au juste règlement des successions... l'affaire n'est pas
toujours évidente. Alors il faut remonter le fil, partir en quête d'un
Simon devenu une Simone, d'un enfant illégitime que la nouvelle
ébranlera, d'un pizzaiolo que l'on fera châtelain... Autant d'anecdotes
qui offrent un livre aussi passionnant qu'inattendu. Ces histoires-là
finiront sans doute racontées autour d'une table, à la manière des
histoires drôles, sauf qu'ici... tout est vrai !
"HISTOIRE ET GENEALOGIE DES LE BAILLY DE LA FALAISE" de
Geoffroy GUERRY, Préface du Duc de BRISSAC
2011, 21 x 29,7, 45 €
La famille Le Bailly de La Falaise, originaire du Pays de Caux, accéda
à la noblesse au XVe siècle. Propriétaires terriens, ses membres
s’allièrent à la noblesse rurale locale jusqu’à la Révolution. Après
celle-ci, la restitution du milliard des émigrés et diverses
successions de parents sans enfants, permettront aux La Falaise, dès
les années 1830, de se hisser parmi les familles notables de la Vendée.
De puissantes alliances, comme les Le Veneur de Beauvais ou les Maynard
de La Claye, renforceront leur position de grands propriétaires. La fin
du XIXe siècle marquera un tournant dans l’histoire familiale avec
l’union d’un de ses membres à l’une des héritières de la firme Hennessy
; Le destin des La Falaise se déclinera alors à l’étranger, à New-York,
ou en Colombie, ainsi que sur le front militaire. On citera notamment
le destin tragique du jeune lieutenant Richard de La Falaise
(1910-1945), résistant, déporté politique et mort pour la France.
L’ouvrage nous présente le reflet de l’évolution d’une famille de
terroir confrontée aux changements des mentalités, toujours soucieuse
de l’Honneur. L’auteur nous libre de très nombreuses informations,
anecdotes, photos, portraits, vues des propriétés et nous présente les
familles alliées, et notamment les : de Clercy, Hennessy, Morisson de
La Bassetière, Maynard de La Claye, Poictevin de La Rochette, Le Veneur
de Beauvais, Costedoat-Lamarque, Boscal de Réals, Rossi, Gobeau,
Baudoin de Joigny, Hocquart de Turtot, de Villelume, Cavelier de
Mocomble, Le Neuf de Tourneville, de Reboul, de Damrémont, Pichard du
Paty…
"SIRE, DE GRACE, UNE PARTICULE, (TOME 8 - Lettre L)" de
Bertrand OGERAU - SOLACROUP
2012, 21 x 29,7, 7687 notices, 39 €
Nouveau Tome de cette extraordinaire collection, il regroupe un total
de 7687 noms et notices, c'est à dire le recensement le plus exhaustif
publié à ce jour. Pour chaque famille sont présentées les sources qui
ont permis de connaître ces renseignements. Le volume débute avec la
famille de LAAGE, et s'achève avec la famille LYVET d'ARRENTOT.
Exemples de
notices
figurant dans le Tome L :
LAGAYE de LANTEUIL (de) :
Limousin. Anoblie par charge de Secrétaire de La Chambre du Roi en
1598. Cette famille a été admise à l’ANF lors de l’Assemblée Générale
du 29 novembre 1991, sur la Foi du certificat de noblesse, délivré le
1er avril 1740, par Louis, Pierre d’HOZIER. Sources
: AD de Corrèze, ANF (1991).
La GRANDIÈRE (de) : Anjou.
Famille de noblesse d’extraction chevaleresque (1300). Maintenu noble
en 1666, 1667 et 1668. Elle fut, par ailleurs, reçue aux Honneurs de La
Cour. Cette famille a été admise à l’ANF lors de l’Assemblée Générale
du 26 mai 1934, sur la Foi de deux certificats de noblesse : le premier
délivré le 7 novembre 1723 par Charles d’Hozier pour l’admission dans
les Pages de la Grande Ecurie ; et le second délivré le 4 mai 1739, par
Louis Pierre d’Hozier, pour l’admission dans la maison royale de Saint
Louis, à St. Cyr.Sources : BN Ms
FS 32103 ; BN Ms Fs 32 130, et Valette (Page 113).
"L’ALBUM ROYAL, DE LÉOPOLD Ier à BAUDOIN" d'Olivier Defrance et
Christophe Vachaudez
2011, 24 x 28, 192 pages, 30 €
Grâce à un ensemble unique et inédit provenant essentiellement
d'archives et de collections privées jusqu'alors inexploitées, cet
album royal retrace le quotidien de la dynastie, des origines de la
photographie - qui correspondent quasiment à la création de l'État
belge - à 1960. Certains documents proviennent des albums privés de la
famille royale belge, d'autres ont été prises par les souverains
eux-mêmes ou par des photographes renommés tels que Nadar, Bassano, Van
Dyck, Ghémar, Géruzet ou Marchand. Fruit de longues recherches en
Belgique et à l'étranger, ce livre aborde l'histoire de Belgique de
façon originale, tout en offrant aux amateurs d’histoire un recueil de
pièces exceptionnelles.
"CAHIERS GENEALOGIQUES DE LA
PREVOTE D'AMANCE EN LORRAINE, tome 1, les gentilshomme d'Amance" de
Olivioer Eyraud
PAML, 2011, 19 x 26,5, 928 p., 86 €
En son temps premier chef lieu de prévôté du bailliage de Nancy,
administrant 53 communes, Amante fut au cœur de l'histoire de Lorraine
durant de nombreux siècles. Elle perdit sa prépondérance avec les
revers qu'essuya la vieille dynastie ducale, Richelieu fit raser son
imposant château médiéval, et le roi de Pologne lui ôta tout rôle
juridictionnel, devenant le simple et paisible village que nous
connaissons aujourd'hui, rappelant timidement au touriste les vestiges
de sa gloire passée.
L'Histoire fut presque toujours tragique aux lorrains qui conservèrent
pieusement, en compensation des lourdes pertes patrimoniales qu'ils
subirent, leurs vieux papiers. Ces fragiles trésors, déposés
aujourd'hui aux archives de Lorraine, rescapés de tant de guerres et de
malheurs, permettent dans presque tous les cas, de remonter jusqu'à la
fin du XVème siècle les généalogies des familles d'Amante, Laître,
Laneuvelotte, Dommartin, Champenoux, Agincourt, Château-Salins et de
bien d'autres communes de la prévôté, véritable pont entre l'état civil
existant et un passé lointain.
Ce premier tome, d'une série qui en comptera quatre, retrace les
lignages de ceux que l'on nommait « les gentilshommes d'Amante »,
hommes d'armes issus de noblesse féodale qui tissèrent des liens
matrimoniaux avec les familles de propriétaires terriens locaux et de
notables nancéiens. Un ouvrage de 925 pages, riche de plus de 3500
condensés d'actes inédits, extraits d'archives publiques très variées,
se voulant une banque documentaire providentielle pour qui cherche ses
ancêtres à Amante, ses environs, et Nancy.
"Frédéric d'HOUDETOT et Madeleine MASSERON
1778-1870, Entre Lumières et Ombres" de Jean Hesbert
HOUD, 2011, 16 x 24, 394 p., 24,90 €
Le mercredi ler mai 1811 se célèbre à Paris, le mariage religieux de
Frédéric-Christophe d'Houdetot, préfet de l'Escaut et de Madeleine
Masseron, dans une petite chapelle de la rue Saint-Louis-au-Marais.
Frédéric est le petit-fils de Sophie-Elizabeth La Live de Bellegarde,
l'amie platonique de Jean-Jacques Rousseau, celle que les littérateurs
désignent comme la Comtesse d'Houdetot.
Madeleine est la fille d'un éphémère conseiller au parlement de Rouen
qui, malmené pendant la Convention, connaît les geôles rouennaises et
parisiennes. Sa femme, Magdeleine Françoise, très fortunée,, divorce en
son absence. Il décède peu après son retour, à Rouen.
Les mariés sont orphelins. Ils ont en commun : - lui, d'avoir perdu sa
mère, Louise Perrinet de Faugnes quand il avait trois ans : - elle, son
père, Alexandre Masseron, à peu près au même âge. C'est aussi l'union
de deux familles d'origine normande : les Houdetot sont de
Haute-Normandie ; les Masseron ont leurs racines en Basse-Normandie.
Là s'arrêtent les similitudes. Les Houdetot ont l'essentiel de leur vie
à Paris. Les salons de la Comtesse attirent les plus beaux esprits de
la fin du XVIIIe siècle. C'est une famille bien en vue. Mathieu Molé
épouse Caroline de La Briche, cousine de Frédéric-Christophe. Derrière
Madeleine Masseron se cache une mère dévorée d'ambition pour sa fille
et très habile en affaires: Magdeleine Françoise Sébire de Boislabbé,
qui a bien compris que l'avenir de sa fille passait par Paris.
Tout semble réuni pour que cette union soit une réussite : - le mari,
conseiller d'État, deux fois préfet en Belgique, puis dans le Calvados,
pair de France, député à l'Assemblée nationale législative de la
Seconde République et député au Corps législatif du Second Empire, de
plus honoré de bien d'autres distinctions, - l'épouse bien jolie, un
tendron de 18 ans, mais à peine de petite noblesse provinciale.
Pourquoi alors Frédéric-Christophe d'Houdetot, baron de l'Empire, puis
vicomte et comte, a-t-il épousé Madeleine Masseron ?
Madeleine ne lui donne pas de descendant. C'est le drame de leur vie.
FrédéricChristophe déploie alors une activité en tous sens. Elle mène
pour sa part une existence sans lustre, encore que dans les salons elle
gomme ses origines bien discrètes en se faisant appeler
Pauline-Adélaïde Le Masseran.
Celui qui éclairait le couple disparaît en 1859. C'est là pour une
femme qui vit dans l'ombre, le début d'une période de pleine obscurité
de onze ans, en retrait des mondanités de sa belle-famille.
Elle décède en août 1870, délaissée de tous. Signe de l'échec de sa
vie, elle laisse son patrimoine aller à ses ayants-droit au 7ème et
8ème degré dont elle ignore tout. C'est une aubaine pour Véronique
Poirier-Ledesdet, issue d'une modeste famille de paysans des Pays de
l'Ouest, qui peut se faire attribuer le bel hôtel du 12 rue de Tournon
achevé de construire en 1778 par Michel Neveu.
"GRAND
ARMORIAL DE FRANCE" de Henri JOUGLA de MORENAS et R. de WARREN
GAFP, ed. classique 2011 (édition luxe épuisée), 7 volumes 21 x 29,7,
couverture souple, dos carré collé, 450 €
Catalogue général des armoiries des familles nobles de France,
comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le
royaume et celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la
noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant
les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse
entre 1660 et 1830, d'après l'édition de 1952 en 6 volumes + 1 volume
supplément.
"GRAND DICTIONNAIRE
HISTORIQUE, GENEALOGIQUE ET BIOGRAPHIQUE DE LA HAUTE-MARCHE" de A.
Tardieu
DIHM, 2011, 21 x 29,7, 216 p., 70 €
"LA DYNASTIE D'APCHIER et leurs alliances" de M. Demorest
APCH, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La maison de Châteauneuf-Randon, connue en Gévaudan et en Vivarais
depuis le XIè siècle, s'est divisée en plusieurs branches dites de
Châteauneuf-Randon, d'Apchier, de Barjac-Rochegude et de Joyeuse.
La baronnie d'Apchier donnait une entrée par tour aux états généraux du
Languedoc, en alternance avec les baronnies de Mercoeur, de Canillac,
de Tournel, de Châteauneuf-Randon, de Peyre, de Sénaret, et de Florac
Guérin de Châteauneuf, chevalier, vivant en 1180, épouse Alix d'Apchier
et fut la tige de la maison d'Apchier.
"LA DYNASTIE DE PRUNELE et leurs alliances" de M. Demorest
PRUN, 2011, 21 x 29,7, 25 €
Les Prunelé sont originaires de La Porte (près Etampes) on les trouve
depuis Rudolphe de Prunelé vivant au 12e siècle. Ils possèdent Gazeran
- par alliance avec les seigneurs du lieu au XIV° - jusqu'en 1706. Ils
tiendront Ouarville plus longtemps encore - jusqu'à la fin du XIX°
siècle.
"LA DYNASTIE D'ESTAING et leurs alliances" de M. Demorest
ESTA, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La famille d'Estaing est l'une des familles nobles les plus
considérables du Rouergue et d'Auvergne. Originaire d'Estaing, dans
l'Aveyron où la châtellenie est attestée depuis le début du XIe siècle.
La maison d'Estaing s'est éteinte avec le décès de l'amiral
Charles-Henri d'Estaing (en 1794), puis de sa demi-sœur Lucie Madeleine
d'Estaing qui est morte en 1826 et qui laisse une descendance nombreuse
de nos jours.
"LA DYNASTIE DE FLANDRE et leurs alliances" de M. Demorest
FLAN, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La maison de Flandre - aussi appelée les Baudouins (Lat. Balduini) -
fut le premier lignage de la noblesse franque à s'installer durablement
sur un territoire héréditaire. Elle fut fondée par Baudouin Ier
Bras-de-Fer, époux de Judith, fille de Charles le Chauve.
"LA DYNASTIE DES BLACAS et leurs alliances" de M. Demorest
BLAC, 2011, 21 x 29,7, 25 €
Les Blacas sont une maison française, très ancienne, qui tire son nom
du château d'Aups (en Provence). Dès le XIIe siècle, Blacas de Blacas,
dit le Grand guerrier, mort en 1235, se distingua parmi les plus
vaillants chevaliers de la cour du comte Raimond Bérenger IV de
Provence. Seigneurs de la ville d'Aups, la famille a longtemps combattu
avec la commune dans un procès qui dura de 1346 à 1712. La ville d'Aups
eut gain de cause après avoir gagné ce procès pour dépendre
juridiquement du roi de France.
Les Blacas possédaient notamment les châteaux de Vérignon et d'Aups
ainsi que de nombreux autres domaines dans l'actuel canton aupsois. À
cette famille, appartient Casimir Blacas d'Aulps.
Le premier Blacas, Pierre d'Aulps, tige de la maison des Baux participa
à la première croisade (1095-1099).
"JEAN III DE GRAILLY, CAPTAL DE BUCH, CONNETABLE D’AQUITAINE" du Col.
Léon Babinet
JGRA, 2011, reprint de l'édition 1896, 15 x 21, 82 p., 9 €
C’était un prince digne d’un meilleur sort et d’une mémoire éternelle,
il ne le cédait à personne de son temps pour la valeur, la courtoisie,
la piété et la conduite. Quant à sa noblesse, il était proche parent
des rois de Navarre, de France et d’Angleterre... voilà défini, par un
chroniqueur de l’époque, le Captal de Buch, Jean III de Grailly
(1330-1376), tout premier seigneur gascon de l’Aquitaine « anglaise »
du XIVe siècle. Il fut un des grands capitaines de l’époque à l’égal
des Bertrand du Guesclin ou John Chandos et s’illustra dans de
nombreuses batailles dont la plus célèbre fut celle de Poitiers où la
victoire du Prince Noir sur le roi de France lui fut largement
imputable. Trop grand capitaine pour le roi Charles V qui refusa de le
libérer contre rançon, au mépris de toutes les lois de la chevalerie de
l’époque et Jean de Grailly préféra se laisser mourir dans sa prison du
Temple plutôt que de « tourner français » et renier son hommage au roi
d’Angleterre-duc d’Aquitaine.
"ARMORIAL GÉNÉRAL DU VELAY" de Georges Paul
AGV, reprint de l'édition 1912, 17 x 24, 522 p., 6 planches h.t.
broché, 50 €
L’auteur a recensé les armoiries portées par les familles nobles et
bourgeoises du Velay : les parties d’Auvergne, du Gévaudan, du Vivarais
et du Forez. Il a compris les évêques, prévôts, chanoines-comtes et
autres ecclésiastiques, communautés civiles et religieuses. A ce
travail d’héraldiste, l’auteur a joint pour chaque notice une analyse
faisant ressortir l’origine de chaque maison, les débuts de la
filiation.
"HISTOIRE DE LA MAISON DE ROCHECHOUART" du Général Comte
louis-victor-léon de ROCHECHOUART
HIRO, Tome 1 et 2, 2008, 15 x 21, 2 vol., 76 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1859
"CAHIER DE LA NOBLESSE DU BAILLIAGE DE SAINT-MIHIEL" (anonyme )
CNBS, 2010, 15 x 21, 64 p., 15 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1789,
"ARMORIAL DE LA PRINCIPAUTE DE MARTIGUES" de Pierre Daniel de LOSADA
ARPM, 2010, 229 p., 21 x 15, 25 €
L'armorial de la Principauté de Martigues s'adresse aux passionnés
d'Histoire provençale. Par les différents thèmes traités, sa banque de
données archivistiques et le souci apporté aux illustrations, ce livre
est dédié aux amateurs d'études historiques. Il s'agit d'une
intéressante approche de la fiscalité française au temps du Roi Soleil.
Ce aspect méconnu révèle les exigences oppressantes de l'Etat,
anecdotes à l'appui et éclaire sur les mentalités de la société de
l'Ancien Régime. L'étude ne se limite pas à l'aspect héraldique car
elle touche de nombreux domaines et concentre une base de données
historiques et généalogiques sans précédent et qui n'avait jamais été
révélée à ce jour pour la région des Martigues.
"NOBILIAIRE DE LORRAINE ET BARROIS OU DICTIONNAIRE DES FAMILLES
ANOBLIES ET LEURS ALLIANCES, D'après l'Armorial Général de Dom
Pelletier" de Félix COLIN de PARADIS
NLB, 2008, 482 p., 15 x 21, Réédition de l'oeuvre originale imprimée en
1878, 30 €
« M'étant occupé depuis longtemps de recherches généalogiques, soit
pour suivre mes goûts personnels, soit pour obliger certaines familles
dont les ancêtres ont habité la Lorraine, j'ai reconnu, par ma propre
expérience, combien il était utile d'avoir un guide manquant, j'ai cru
devoir le faire pour faciliter mes recherches; et si je ne me trompe,
il sera utile à toutes les personnes curieuses de généalogies, et
désireuses de retrouver à l'aide d'un nom toutes les alliances d'une
famille. »
"ESSAI D'UN ARMORIAL QUERCYNOIS" de L. Esquieu,
ESAQ, 2003, 15 x 21, 448 p., 46 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1902
"ARMORIAL DE LA NOBLESSE DE LANGUEDOC" de Louis de LA ROQUE,
ANL, 2008, 2 Tomes, 15 x 21, 560 + 463 p., broché, 100 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1860
"NOTES POUR SERVIR A UN NOBILIAIRE DE MONTPELLIER" de Ch. de TOURTOULON
NOMO, 2010, 15 x 21, 236 p., broché, 20 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1856
"CATALOGUE DES GENTILSHOMMES D'ARMAGNAC ET DE QUERCY Qui ont pris part
ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour
l'élection des députés aux Etats Généraux de 1789, publié d'après les
procès-verbaux officiels" de E. DE BARTHÉLEMY et Louis de LA ROQUE
CGAQ, 2007, 15 x 21, 45 p., 12 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1900
"ARMORIAL DES COMMUNES DE L'HERAULT", de D.
Catarina, JP. Fernon et J. David
ACH, 2011, 17 x 24, 136 p., blasons couleur, 28 €
"LES CARACTERES DE CIVILITES,
Typographie et calligraphie sous l'ancien régime" de Remi Jimenes.
CACI, 2011, 21 x 29,7, 120 pages, 29,50 €
« Lettre française d'art de main » ou « lettre façon d'écriture », les
caractères de civilité gravés par Robert Granjon en 1557 constituent
l'une des plus fameuses imitations de l'écriture manuscrite dans la
typographie. Reproduisant la gothique cursive très souple des
secrétaires français de la Renaissance, ils seront employés à la
composition des livres (et notamment des manuels scolaires) pendant
plus de trois siècles.
Cette typographie attire depuis longtemps l'attention dès historiens du
livre mais les travaux publiés jusqu'à présent n'ont porté que sur les
origines de cette écriture et sa diffusion à la fin de la Renaissance.
Pour la première fois, cet ouvrage présente l'histoire des caractères
de civilité sur un long terme, en observant les modalités de leur
utilisation depuis la Renaissance jusqu'au milieu du XIXe siècle.
Une première partie, consacrée aux années 1557-1650, décrit la
création, la diffusion et le rapide déclin de cette typographie, et
s'interroge sur les motivations idéologiques qui ont conduit à son
utilisation puis à son rejet. La seconde partie, qui porte sur une
période plus tardive (1650-1850), analyse les raisons pour lesquelles
le caractère de civilité a été alors systématiquement employé à la
composition des manuels de savoir-vivre. ..
Dans ce large cadre chronologique, l'auteur examine le rôle qu'ont joué
les caractères de civilité dans l’enseignement élémentaire et les
rapports étroits qu'ils ont entretenus avec les modes calligraphiques.
La typographie n'est donc pas ici examinée sous ses seuls aspects
formels : on s'attache à restituer les enjeux (sociaux, religieux,
économiques) qui en conditionnent les usages.
À travers cette histoire de la « lettre française », c'est à une
véritable exploration des relations entre typographie et calligraphie
qu’est convié le lecteur.
"L'ARMORIAL GENERAL DE 1696,
et son application en Franche-Comté" de Nicolas Vernot.
Réédition 2011 de l'édition 2003, 21 x 29,7, 320 pages, 49 €
L'Armorial général de 1696 est un des documents les plus consultés de
la Bibliothèque Nationale. Paradoxalement, c'est également un des plus
méconnus. En effet, la complexité de son organisation interne et les
jugements lapidaires portés parfois sur cette entreprise ont détourné
nombre de chercheurs de cette source pourtant hors du commun. Avec ses
quelques 120.000 enregistrements, l'Armorial général mérite tout
l'intérêt du généalogiste, de l'historien et de tout curieux de la
société d'Ancien Régime. Cette étude cherche à mettre fin à un certain
nombre de préjugés traditionnellement attachés à l'Armorial général et
s'attache à répondre aux questions les plus souvent formulées par tous
ceux qui ont eu un jour
affaire à cet ouvrage. Pourquoi l'Edit de 1696 a-t-il été mis en place
? Comment, concrètement, ont eu lieu les enregistrements ? Quel degré
de confiance peut-on leur apporter ?
Que sont les armoiries d'office, à qui et comment ont-elles été
attribuées ? D'une manière générale, quelles sont les particularités
des armoiries portées sous le règne de Louis XIV, comment étaient-elles
choisies et quelle était leur signification ? Pour répondre à toutes
ces questions, l'ouvrage s'appuie sur des sources précises telles que
la législation (le texte de l'Edit y est intégralement reproduit).
Surtout l'auteur, Franc-Comtois, a le souci permanent de confronter les
ambitions de l'Etat monarchique à la réalité du terrain : il a donc
choisi de donner son pays d'origine pour cadre à cette étude, ce qui
lui permet d'expliquer de manière concrète et approfondie les modalités
d'application de l'Edit de 1696. L'Armorial général est loin de
s'adresser à la seule noblesse : bourgeois et marchands, villes et
communautés religieuses sont eux aussi concernés par ce nouvel impôt
dont l'application fait apparaître toute la richesse de l'heraldique
sous le règne du Roi Soleil : phénomènes de mode, particularités
locales, stratégies familiales, soif de paraître, voire humour... c'est
un visage parfois inattendu de la société d'Ancien Régime qui se laisse
découvrir…
Table des noms cités.
"DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET
GENALOGIQUE : LA PRINCIPAUTE DE LICHTENSTEIN" des cahiers du CEDRE
DHLI, 1988, 2 vol., 420 p., 21 x 29,7, 122 €
Arbre généalogique de la famille princière du Lichtenstein. Généalogie
et chronologie événementielle des dynasties ayant régné sur la
principauté de Lichtenstein.
"DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET
GENALOGIQUE : LE ROYAUME D'ESPAGNE, DUCHE DE PARME" des cahiers du CEDRE
RESP, 1990, 4 vol., 878 p., 21 x 29,7, 340 €
Arbre généalogique de la famille royale d'Espagne et du duché de Parme.
Généalogie et chronologie événementielle des dynasties ayant régné sur
le royaume d'Espagne.
"NOBILIAIRE ET ARMORIAL DE BRETAGNE, Tome 1" de
P. Potier de Courcy
NAB1, 2011, 324 p., 16 x 24, 27 €
Edité, remanié et réédité tout au long de la deuxième moitié du XIXe
siècle (jusqu’en 1895) ce Nobiliaire et Armorial est un des monuments
de l’héraldique et de la généalogie de la Bretagne ancienne.
Cette nouvelle édition, entièrement recomposée se composera de quatre
tomes (les trois tomes du Nobiliaire « stricto sensu » habituellement
réédités, augmentés d’un quatrième reprenant la seconde partie du tome
III de l’édition de 1890, — souvent tronquée ou oubliée —, qui se
rapporte notamment aux nombreuses listes de titulaires de charges
personnelles dans la Bretagne d’Ancien Régime.
"ARMORIAL DU BEARN (1696-1701) Tome III, supplements et armes d'office"
de A. Dufau de Maluquer
ARB3, 2011, 334 p., 15 x 21, 28,50 €
Paru dans la Revue du Béarn puis en tiré à part en 1889, l’Armorial de
Béarn fait presque partie des ouvrages mythiques dont on a entendu
parler mais sur lesquels, jamais, l’on n’arrive à mettre la
main dessus. C’est toute l’histoire nobiliaire du Béarn d’Ancien Régime
qui défile ainsi dans l’Armorial. Une somme impressionnante
d’informations
à nouveau disponibles grâce au travail patient et minutieux de Dufau de
Maluquer (et de de J. de Jaurgain pour le premier tome).
"LICHTENBERG, UNE FORTERESSE ET SA GARNISON DE 1678 A 1870" de D. Riehm
LICH, 1995, 228 p., 16 x 24, 22 €
Histoire et évolution architecturale de 1678 à 1870 d'après les
archives conservées au service historique de l'armée de terre
(Vincennes)
"DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET
GENALOGIQUE : LE ROYAUME DE GRANDE BRETAGNE ET IRLANDE DU NORD" des
cahiers du CEDRE
RUGB, 1990, 3 vol., 624 p., 21 x 29,7, 189 €
Arbre généalogique de la famille royale d'angleterre (angleterre,
écosse, Irlande du Nord). Généalogie et chronologie événementielle des
dynasties ayant régné sur le royaume d'angleterre, devenu le royaume
d'angleterre, d'écosse et d'irlande depuis ses origines jusqu'à
l'avènement de la dynastie de Hanovre, puis depuis le roi georges I,
fondateur de la dynastie de Hanovre (maison des Guelfes), puis dynastie
de Saxe-Cobourg-Gotha, puis Windsor.
"RITRATTI DEI VISCONTI SIGNORI DI MILANO" de
Pompeo Litta
VISC, 2010, 116 p., 16,5 x 23, (en italien), 28 €
Riproduzione della celebre opera che raffigura i ritratti stemmati dei
Visconti che signoreggiarono su Milano dal
1277 al 1447, incisi da Eugenio Silvestri ed accompagnati dall’albero
genealogico e dalla storia delle loro vite
narrata da Pompeo Litta, più noto come l’autore della monumentale opera
Famiglie celebri italiane.
"I PARRAVICINI" de Giustino
Renato Orsini
PAVI, 2010, 100 p., 16 x 23, (en italien), 30 €
Ristampa anastatica dello studio dedicato alla ramificatissima famiglia
dei Paravicini / Parravicini, con una particolare
attenzione ai rami valtellinesi ed a quelli trasmigrati, apparso sul
Periodico Storico Comense nel 1942. L’autore
Giustino Renato Orsini (1883-1964) poté attingere per le proprie
ricerche al proprio ricco archivio gentilizio, che per
successione ereditaria aveva incorporato quello dei Paravicini di
Dazio, estintisi nei maschi alla fine del 700 e che
avevano a loro volta raccolto nel corso dei secoli l’eredità di altri
rami del prolifico casato.
"ARMORIALE TICINESE" de
Alfredo Lienhard-Riva
TICI, 2010, 600 p., 21 x 30, (en italien), 170 €
L’Armoriale Ticinese (Losanna, 1945) è l’opera di una vita di Alfredo
Lienhard-Riva (1876-1959), che raccolse con
puntigliose e precise ricerche notizie araldico-genealogiche su
un’enorme mole di famiglie, estinte e fiorenti, stanziate
nel Canton Ticino, molte delle quali di origine lariana. L’opera
raffigura a colori ben 580 stemmi di famiglie ticinesi
in ventinove magnifiche tavole, ed altre centinaia vi sono raffigurati
in bianco e nero: tutti desunti da fonti attendibili,
ed in special modo da sigilli, così come le notizie riportate, che
fanno di questo lavoro un modello da imitare.
"DU SERVAGE AU SALARIAT
AGRICOLE DANS L'EUROPE DES PAYSANS, du moyen-age au XXe siècle" de P.
Piégay
SESA, 2010, 15,5 x 24, 402 p., 35 €
L'histoire des ouvriers agricoles en France est bien connue à ce jour
suite aux différentes études, recherches et témoignages.
Ces approches de la réalité permettent de lever le voile sur leurs
difficiles conditions de vie et de travail trop méconnues,jusque-là.
Dans le présent ouvrage, nous souhaitons, dépassant le seul cadre du
territoire français, axer notre démarche à l'échelle du continent
européen par le biais des recherches entreprises dans chaque pays
concerné.
Parallèlement, il nous a paru souhaitable de mieux cerner les racines
de ce sous-prolétariat. Comment a-t-il pu se constituer au cours des
siècles dans le sillage de la paysannerie, à travers les crises, les
conflits, les troubles qui émaillèrent l'évolution du monde rural ?
Notre objectif reste toujours le même : témoigner du vécu de ces damnés
de la terre afin que leur passé ne s'efface pas de la mémoire
collective.
"Un art de vivre francais ?
LES MESSIEURS DU CONSEIL SOUVERAIN D'ALSACE DANS LEURS DEMEURES AU
XVIIIe" de V. Umbrecht
DEUA, 2010, 16 x 24, 288 p., 25 €
Dans le paysage alsacien du XVIIIe siècle, les Messieurs du Conseil
souverain d'Alsace constituent un groupe social à part. Représentant du
roi dans une province devenue française depuis peu, ils se sont
identifiés à l'élite judiciaire du royaume et en ont adopté les codes.
Une fortune fructifiée par une politique matrimoniale endogamique leur
garantit la prééminence sur les autres catégories sociales. Ils ont mis
en scène tous les attributs ostensibles de leur appartenance à cette
élite parlementaire : un mode de vie nobiliaire partagée entre la
demeure urbaine et la maison de campagne.
Obligés de résider à Colmar lors des sessions du Conseil souverain, ils
ont alors orchestré leur visibilité dans la ville par le choix d'un
quartier, d'une rue et d'un type de maison qui leur permettait
d'affirmer leur différence. Par leurs habitations, les Messieurs ont
ainsi marqué dans la pierre l'ancienne cité impériale en affichant sur
les façades un « goût à la française », réinventé par les architectes
locaux. Lors des vacances parlementaires, ils rejoignaient leur domaine
campagnard. Se comportant en seigneur terrien, ils habitaient de
magnifiques maisons de plaisance qui reprenaient le schéma du château,
enserré dans un écrin de verdure. Le jardin à la française inspira
largement les commanditaires au XVIIIe siècle, pour faire place, dans
la seconde moitié du siècle, au jardin pittoresque dont un des rares
exemples alsaciens est parvenu jusqu'à nous. L'étude du mode de vie des
Messieurs ne serait pas complète sans évoquer leurs manières d'habiter.
Édifices soumis aux règles de l'art de la distribution, ces demeures
étaient agencées selon le précepte de la séparation de la vie publique
et de la vie privée, et ornées d'un mobilier et d'une décoration
spécifiques.
Un art de vivre français enAlsace ? Ou un art de vivre alsacien dans le
royaume de France? Ce sont à ces questions que tente de répondre cet
ouvrage qui retrace le parcours de ces Messieurs, vecteurs de la
diffusion d'un art venu d'outre-Vosges, implanté sur une terre de
tradition germanique.
"SIRE, DE GRACE, UNE PARTICULE (H-I-J-K)" de
Bertrand Ogereau et Etienne de Sereville
PART8, 2011, 21 x 29,7, 51 €
Essai de répertoire des familles francaises particulées. Ancien régime,
Empire et république. Tome H-I-J-K, contenant 2000 notices avec des
noms totalements inédits.
"LA DESCENDANCE DE NAPOLEON
III, dernier souverain de France" de E. de Tassigny
DEN3, 2011, 15,5 x 24, ill. N & B, 388 p., 40 €
Eddie de Tassigny s'est d'abord découvert plus de 250.000 cousins et
s'est ensuite attaqué à la descendance de Napoléon Ier (publiée en 2009
et dont il y a une liste d'addenda dans le présent ouvrage).
On trouvera ici tout ce qu'il convient de savoir sur la postérité de
Napoléon III (quatre fils naturels et un légitime) et soixante
descendants en tout. Ils sont littéralement suivis à la trace, avec de
nombreux documents à l'appui. De bien curieux personnages parfois !
Outre le prince impérial, dont le destin pathétique est en fait très
méconnu, on trouve les deux derniers anoblis par un souverain français
(en juin 1870) : les comtes d'Orx et de Labenne, plus ou moins heureux
en affaires. Autres fils illégitimes : un brillant chirurgien dentiste
et le fils d'une éminente « demi-mondaine », Marguerite Bellanger.
Table
des noms cités
"ENCYCLOPEDIE GENEALOGIQUE DE LA NOBLESSE DE FRANCE VII (Beu-Boisb)" de
J. Saillot
EGNF7, 2011, 21 x 29,7, 560 p., 55 €
"DICTIONNAIRE ARIEGEOIS-FRANCAIS
(LANGUEDOCIEN-FRANCAIS)" de A. Moulis
DIAF, 2001, 14,5 x 20,5, 314 p., 30 €
"L'ARBRE DES FAMILLES" de J.F. Demange
ARFA, 2003, 21 x 29, 216 p., nb ill. couleurs, relié toile sous
jaquette, 45 €
Tout en apportant
une réponse à notre quête des origines et du passé, la généalogie a été
le support d'un art et d'un langage visuel qui n'ont cessé d'évoluer au
fil des siècles. Avant que naisse l'arbre des familles tel que nous le
connaissons, on a imaginé les formes les plus étonnantes, voire les
plus audacieuses. Les compositions rudimentaires des époques anciennes
ont alors peu à peu fusionné avec les arbres symboliques utilisés en
nombre à la fin du Moyen Âge. De ces arborescences permettant
d'organiser la réflexion, la méditation et l'argumentation est issu
l'arbre que nous appelons généalogique. Si le XVIe siècle s'impose à
cet égard comme celui de l'excellence, les siècles suivants nous ont
légué des représentations tout aussi passionnantes. Arbres de vie,
arbres de Jessé, figure de l'ancêtre, arbres dynastiques, pratiques
contemporaines... cet ouvrage retrace les étapes et les significations
de la figuration généalogique à travers les plus beaux spécimens de
l'histoire.
"CADETS DE GASCOGNE, de cape, de plume et d'épée" de J.F. Demange
CAGA, 2010, 15,5 x 24, 320 p., 23 €
Cet ouvrage se donne pour but de comprendre ce qui fit la célébrité des
soldats gascons dans l'Histoire de France, puis de tenter de dégager la
part de vérité contenue dans la fiction.
Pourquoi les mots « Cadets de Gascogne » sont-ils à ce point chargés de
sens ? Est-ce de façon usurpée ou méritée ?
Les auteurs littéraires, puis les scénaristes de films, ont-ils exagéré
la réalité historique jusqu'à la caricature, ou correspond-elle à
quelque réalité ?
Pour répondre à ces questions, cet ouvrage vous propose une promenade
dans le temps.
"CES IMMIGRES QUI ONT FAIT LA FRANCE" de D. Casali et L. Schiffer
IMMI, 2007, 18 x 24, 224 p., 35 €
Héritière de siècles de migrations
depuis le Moyen Âge, 1a nation française a construit son identité sur
sa diversité. De nombreux grands personnages de l'histoire incarnent ce
brassage : hommes d'État comme Mazarin, militaires comme le général
Yusuf, scientifiques comme Marie Curie, ou encore artistes comme Marc
Chagall, tous ont oeuvré au rayonnement de la France dans le monde.
Vingt-et-un portraits intimes, illustrés d'une riche iconographie,
retracent la destinée de ces exilés volontaires ou non dont l'histoire
personnelle rejoint la grande Histoire.
"FRANC MACONNERIE ET SOCIETES SECRETES CONTRE NAPOLEON, Naissance de la
nation allemande" de G. Hertault et A. Douay
FMSS, 2005, 14 x 22,5, 464 p., 26 €
Parmi les nombreux états que
comptait l’Allemagne en 1803, seule la Prusse pouvait espérer jouer un
rôle. Mais le 14 octobre 1806, les victoires françaises d’Iena et
d’Auerstadt révélèrent l’état de décomposition du pays dirigé par
Frédéric-Guillaume III, monarque conservateur et indécis. Or, sept ans
plus tard, la Prusse prenait une part éclatante dans la bataille des
nations à Leipzig.
Comment cette transformation a-t-elle pu être aussi rapide sous un
pouvoir aussi absolu et rétrograde ? C’est l’objet de cet ouvrage qui
nous fait découvrir, pas à pas, les actions souterraines de la plupart
des sociétés secrètes, fondées à partir de la franc-maçonnerie
prussienne.
"DICTIONNAIRE DES MARINS FRANCAIS" de E.
Taillemite
DMF, 2002, relié sous jaquette, 17 x 24, 574 p., 50 €
Surcouf, Cousteau, de Grasse,
Bougainville, Monge, Duguay-Trouin, Cartier, Tabarly, Richelieu,
Baudin, La Motte-Picquet, Suffren, Leygues, Bart, Vauban, Duquesne,
Gauguin, Lapérouse, Kerguelen, Tourville, D'Entrecasteaux, Loti,
Coligny, Carnier, Colbert... Depuis près de cinq siècles, ces hommes et
tant d'autres, qu'ils aient été combattants, ministres, explorateurs,
écrivains, administrateurs, scientifiques ou artistes, ont écrit les
plus belles pages de l'histoire maritime française. Ces personnalités
aux destins passionnants méritaient de figurer dans un ouvrage de
référence. C'est l'objectif que s'est fixé Étienne Taillemite en nous
proposant ce dictionnaire. À travers près de mille portraits, puisés
aux meilleures sources, il nous fait revivre les grands épisodes de
l'aventure maritime française, sur le plan de la politique générale
comme sur celui des opérations militaires auxquelles la marine a été
mêlée. Il met également en lumière certains aspects méconnus des
activités de la flotte : missions diplomatiques, contribution à la
recherche scientifique, grandes découvertes, missions à caractère
humanitaire, etc. Cette nouvelle édition du Dictionnaire des marins
français, totalement revue et augmentée de plus de cent cinquante
portraits, apparaît véritablement comme l'ouvrage incontournable sur le
sujet.
"BALADES NAPOLEONIENNES DANS PARIS Consulat et premier empire" de K.
Huguenaud
BNDP, 1981, 14 x 21, 208 p., 23 €
C'est à un voyage au cour de
l'histoire du Consulat et du premier Empire que convie ce guide. En
arpentant les rues de la capitale, en redécouvrant ses monuments, le
promeneur-lecteur retrouve, de façon originale et parfois inattendue,
dans les traces du Paris consulaire et impérial, les Grandes dates de
l'histoire napoléonienne. Depuis le coup d'État du 18 brumaire jusqu'à
la chute de l'Empire en 1815, la ville dévoile à travers ses multiples
facettes le tableau d'une époque. Car, des lieux du pouvoir - Louvre,
Palais Bourbon, Luxembourg, etc. - jusqu'aux monuments dédiés aux
armées victorieuses - colonne Vendôme ou arcs de triomphe du Carrousel
et de l'Étoile -, paris nous montre encore la face glorieuse de
l'épopée. Urbaniste et bâtisseur, Napoléon rêvait de faire de la
capitale de l'Empire la plus belle ville d'Europe. Sa politique, faute
de temps, ne portera pas les fruits espérés. De la rue de Rivoli au
pont d’Austerlitz, ces dix balades sont une invitation à retrouver
l'ouvre impériale. Un paris moins officiel s'offre alors à nous, celui
qui fut le cadre de vie d'une société jeune, avide de loisirs et de
plaisirs. Si elles se complaisent dans les aristocratiques faubourgs
Saint-Germain et Saint-Honoré, les élites de cette société goûtent tout
autant les quartiers à la mode comme la Chaussée d’Antin, si proche de
l'effervescence des grands boulevards et des turbulences du Palais
Royal. De la grande Histoire de l'Empire à l'évocation du quotidien de
maris il y a deux cents ans, ce guide, accessible au simple amateur de
balades historiques, recèle de surprises, même pour le connaisseur de
la période.
"GENEALOGIE DE LA FAMILLE DELLOYE olim D'IVE ou DYVE de THIRIFAYS et de
PREIT DELLE LOYE (1470-1980)" de D. Havard de la Montagne
DELL, 1981, 21 x 27, 120 p., 35 €
Histoire et généalogie de cette famille de
Flandre, membre de la bourgeoisie de Huy.
"PRIORISTA FIORENTINO ORSINI DE MARZO"
PFOM, 2011, 23 x 34, 576 p., relié, sous coffret, (en italien) 450 €
Questo importantissimo stemmario
cinquecentesco è in realtà un priorista, poiché elenca, accanto allo
stemma di ciascuna famiglia, i nomi e gli anni di carica dei priori e
gonflalonieri di giustizia forniti da ciascun casato alla Repubblica di
Firenze negli anni intercorrenti fra l’instaurazione del Priorato delle
Arti ( 1282) e l’avvento dol ducato mediceo (1532).