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Genealogie, Noblesse, heraldique, familles royales et princières, paleographie
Histoire des familles, Régionalisme, Ordres de chevalerie, Onomastique, Toponymie...

LES NOUVEAUTES DE FEVRIER 2012


"LES GRANDES FAMILLES : LES GUISES" d'Henri PigaillemLes Grandes Familles : Les Guises
2012, 15 x 24, 518 pages, 24,90 €
Les Guises, qui régnèrent longtemps en maîtres sur les affaires politiques de la France, connurent une ascension foudroyante sous le règne d'Henri II et devinrent tout-puissants sous celui de François II. Ils se rendirent célèbres en se faisant les champions de la cause catholique et en déclenchant la première guerre de Religion. Leur illustre maison était originaire de Lorraine et se déclarait issue de Charlemagne. Le plus célèbre de ses princes, Henri le Balafré, paya de sa personne ses prétentions à la couronne : il mourut assassiné à Blois sur ordre d'Henri III. L'aventure des Guises ne s'acheva pas sur ce fameux épisode ni sur l'avènement de leur nièce et cousine Marie Stuart au trône d'Ecosse puis de France. Elle se poursuivit avec ceux que leurs contemporains nommèrent "les petits Guises": Charles, amiral du Levant, héros du siège de La Rochelle ; Henri II, impliqué dans plusieurs complots contre Mazarin, proclamé roi de Naples ; Marie, mécène du compositeur Marc-Antoine Charpentier. Autour du rameau principal, gravitèrent encore d'innombrables rejetons: les cardinaux Jean et Charles de Lorraine, fins esthètes, qui jouèrent un rôle considérable dans la lutte impitoyable contre les protestants. Henri Pigaillem retrace avec brio la saga de cette dynastie princière, avide de pouvoir et d'honneurs.

 

"LES PREUVES DE NOBLESSE AU XVIIIème SIECLE" de Benoit de FauconpretLes Preuves de Noblesse au XVIIIème siècle
2012, 18,75 x 13, 272 pages, 39 €
Lors de la parution de son premier écrit sur le sujet, en 1999, l'auteur tentait pour la première fois de faire le point de façon exhaustive sur les places réservées à la noblesse dans la France d’Ancien Régime, et sur les preuves nécessaires pour y être admis. Cette étude, vite épuisée, revient aujourd’hui dans une version revue et largement augmentée. Elle répertorie 197 institutions (5 de plus que dans la première édition) qui relèvent de domaines très variés : ordres de chevalerie et confréries nobles, honneurs de la cour, maisons civiles et militaires du roi et des princes, places d’officiers dans l’armée et la marine, établissements d’éducation pour les jeunes gentilshommes et demoiselles, chapitres de chanoines et de chanoinesses nobles, administrations provinciales et locales... Pour chaque institution, ce recueil présente son organisation, sa composition, les preuves de noblesse requises, les sources dont on dispose. Ce travail très complet est précédé d’une introduction générale sur la façon dont se faisaient les preuves de noblesse (en particulier devant les généalogistes royaux), mais aussi d’une étude qualitative et quantitative sur l’évolution des places nobles et du recours aux preuves de noblesse tout au long du XVIIIe siècle. L’auteur : diplômé de Sciences-Po Paris, a déjà publié plusieurs livres et articles sur des institutions de la France d’Ancien Régime, en lien, avec l’histoire de la noblesse.

 

"CLEFS POUR UNE SOMME" de Hervé PINOTEAU et Patrick VAN KERREBROUCKClefs pour une somme
2012, 298 pages, 90 €
Voici l’indispensable complément aux deux premiers volumes relatifs à la symbolique de l’État français parus en 1998 et 2003. État le plus vieux de l’Europe et sans doute du monde avec le Japon, du fait de son origine sous clovis. Avec 1332 pages et 24 planches en couleurs de format A4, ces volumes ont évoqué les éléments symboliques de nos diverses traditions politiques. cérémonies, sacres, investitures, armées de terre et de mer ont donné lieu à un vaste panorama sur les insignes du pouvoir (couronnes, sceptres, épées, vêtements…), les armoiries des souverains et de leurs proches, les sceaux du royaume, des empires et des républiques, les drapeaux et les pavillons à la mer. Aucun ouvrage de cette ampleur n’a été produit jusqu’ici. L’étude de tous ces éléments à travers un millénaire et demi a permis des découvertes et de nouvelles explications. Le texte accompagné de milliers de notes est suivi de la liste des rois et des reines, de tableaux généalogiques des dynasties, d’une chronologie générale des événements d’importance, d’une liste complète et documentée de tous les sacres, couronnements et investitures avec dons d’insignes aux carolingiens, capétiens et Napoléon dans tous les pays du monde (en France, mais aussi de constantinople à Rio-de-Janeiro), sans oublier toutes les cérémonies de ce genre qui ont eu lieu à Arles, en Normandie, Bretagne, Dauphiné, Guyenne, corse… Pour s’y retrouver, même dans ce troisième tome avec ses longs addenda, il fallait aider le lecteur. Ce fut le travail de Patrick Van Kerrebrouck, généalogiste des dynasties royales françaises, donnant l’index général, les sources et la bibliographie, cette dernière comprenant dans les 4000 titres pour les seuls imprimés. Tout fut normalisé par Michel Popoff, conservateur en chef honoraire de la Bibliothèque nationale de France, et enfin mis en page par Jean de Vaulchier, artiste confirmé en la matière. C’est donc la conclusion d’un travail effectué durant des dizaines d’années ! Hervé Pinoteau est membre d’académies et de sociétés savantes dans dix pays. Il a publié depuis 1954 des livres et des articles sur la symbolique des dynasties françaises et des divers régimes politiques de sa nation, insignes du pouvoir, armoiries, sceaux, drapeaux et pavillons de marine. Patrick Van Kerrebrouck est le maître d’œuvre et souvent l’auteur des tomes de la Nouvelle histoire généalogique de l’auguste maison de France qui paraît depuis 1987.

 

"DICTIONNAIRE D'HERALDIQUE - 2012" de Jean Paul FernonDictionnaire d'Héraldique - 2012
2012, 16 x 24, 330 pages, 27 €
Le blason, dont le port est libre sous réserve du droit des tiers, est à présent largement répandu, non seulement dans les familles où il se transmet comme le nom, mais également dans l'industrie, le commerce, les communautés nationales, sportives, associatives et municipales. Symbole d'identification à un groupe social, esthétique par définition, il n'a pas pu être éliminé par les logos et les graphes dont la laideur et le mauvais goût, dans bien des cas, n'a que l'ignorance pour excuse…. De tout temps, blasonner a signifié célébrer et parler beau langage. Encore convient-il de l'apprendre. C'est ce que cet ouvrage propose. Il ouvre, à ceux qui en prendront la peine, la voie à des connaissances et des satisfactions d'honnête homme. C'est là une raison qui en passe bien d'autres. Environ 1800 termes de vocabulaire et 1200 dessins dans ce dictionnaire analogique très complet permettent aux profanes de mieux comprendre la science héraldique et aux initiés de parfaire leurs connaissances

 

LES NOUVEAUTES DE JANVIER 2012


"NOBILIAIRE ET ARMORIAL DE BRETAGNE (Tome II)" de Pol POTIER DE COURCYNobiliaire et Armorial de Bretagne Tome II
2012, 16 x 24, 324 pages, 28,5 €
Edité, remanié et réédité tout au long de la deuxième moitié du XIXe siècle (jusqu’en 1895) ce Nobiliaire et Armorial est un des monuments de l’héraldique et de la généalogie de la Bretagne ancienne. Cette nouvelle édition, entièrement recomposée, présente quatre tomes (trois disponibles, le dernier à paraïtre en mars 2012). Elle est formée des trois tomes du Nobiliaire « stricto sensu » habituellement réédités, augmentés d’un quatrième reprenant la seconde partie du tome III de l’édition de 1890, — souvent tronquée ou oubliée —, qui se rapporte notamment aux nombreuses listes de titulaires de charges personnelles dans la Bretagne d’Ancien Régime. Le tome II comprend les lettres F à M ;         (Le Tome III, complétant cette approche inédite en 4 volumes paraîtra dans quelques semaines !!! Pensez à le réserver dès maintenant.)

 

"PETITES HISTOIRES DE GENEALOGISTES" de Jean Marie, Mathieu et Cécile ANDRIVEAUPETITES HISTOIRES DE GENEALOGISTES
2011, 14 x 22, 267 pages, 17 €
Créées en 1830 pour épauler les notaires, les Archives généalogiques Andriveau sont la plus ancienne étude de généalogie successorale au monde. Personne ne peut imaginer que, derrière leurs murs, se jouent de véritables enquêtes de détective. Retrouver l'héritier qui s'ignore, aboutir au juste règlement des successions... l'affaire n'est pas toujours évidente. Alors il faut remonter le fil, partir en quête d'un Simon devenu une Simone, d'un enfant illégitime que la nouvelle ébranlera, d'un pizzaiolo que l'on fera châtelain... Autant d'anecdotes qui offrent un livre aussi passionnant qu'inattendu. Ces histoires-là finiront sans doute racontées autour d'une table, à la manière des histoires drôles, sauf qu'ici... tout est vrai !

 

"HISTOIRE ET GENEALOGIE DES LE BAILLY DE LA FALAISE" de Geoffroy GUERRY, Préface du Duc de BRISSACHISTOIRE ET GENEALOGIE DES LE BAILLY DE LA FALAISE
2011, 21 x 29,7, 45 €
La famille Le Bailly de La Falaise, originaire du Pays de Caux, accéda à la noblesse au XVe siècle. Propriétaires terriens, ses membres s’allièrent à la noblesse rurale locale jusqu’à la Révolution. Après celle-ci, la restitution du milliard des émigrés et diverses successions de parents sans enfants, permettront aux La Falaise, dès les années 1830, de se hisser parmi les familles notables de la Vendée. De puissantes alliances, comme les Le Veneur de Beauvais ou les Maynard de La Claye, renforceront leur position de grands propriétaires. La fin du XIXe siècle marquera un tournant dans l’histoire familiale avec l’union d’un de ses membres à l’une des héritières de la firme Hennessy ; Le destin des La Falaise se déclinera alors à l’étranger, à New-York, ou en Colombie, ainsi que sur le front militaire. On citera notamment le destin tragique du jeune lieutenant Richard de La Falaise (1910-1945), résistant, déporté politique et mort pour la France. L’ouvrage nous présente le reflet de l’évolution d’une famille de terroir confrontée aux changements des mentalités, toujours soucieuse de l’Honneur. L’auteur nous libre de très nombreuses informations, anecdotes, photos, portraits, vues des propriétés et nous présente les familles alliées, et notamment les : de Clercy, Hennessy, Morisson de La Bassetière, Maynard de La Claye, Poictevin de La Rochette, Le Veneur de Beauvais, Costedoat-Lamarque, Boscal de Réals, Rossi, Gobeau, Baudoin de Joigny, Hocquart de Turtot, de Villelume, Cavelier de Mocomble, Le Neuf de Tourneville, de Reboul, de Damrémont, Pichard du Paty…

 


"SIRE, DE GRACE, UNE PARTICULE, (TOME 8 - Lettre L)" de Bertrand OGERAU - SOLACROUP
2012, 21 x 29,7, 7687 notices, 39 €
Nouveau Tome de cette extraordinaire collection, il regroupe un total de 7687 noms et notices, c'est àSire de Grace dire le recensement le plus exhaustif publié à ce jour. Pour chaque famille sont présentées les sources qui ont permis de connaître ces renseignements. Le volume débute avec la famille de LAAGE, et s'achève avec la famille LYVET d'ARRENTOT.    
Exemples de notices figurant dans le Tome L :
LAGAYE de LANTEUIL (de) : Limousin. Anoblie par charge de Secrétaire de La Chambre du Roi en 1598. Cette famille a été admise à l’ANF lors de l’Assemblée Générale du 29 novembre 1991, sur la Foi du certificat de noblesse, délivré le 1er avril 1740, par Louis, Pierre d’HOZIER. Sources : AD de Corrèze, ANF (1991).
La GRANDIÈRE (de) : Anjou. Famille de noblesse d’extraction chevaleresque (1300). Maintenu noble en 1666, 1667 et 1668. Elle fut, par ailleurs, reçue aux Honneurs de La Cour. Cette famille a été admise à l’ANF lors de l’Assemblée Générale du 26 mai 1934, sur la Foi de deux certificats de noblesse : le premier délivré le 7 novembre 1723 par Charles d’Hozier pour l’admission dans les Pages de la Grande Ecurie ; et le second délivré le 4 mai 1739, par Louis Pierre d’Hozier, pour l’admission dans la maison royale de Saint Louis, à St. Cyr.
Sources : BN Ms FS 32103 ; BN Ms Fs 32 130, et Valette (Page 113).


"L’ALBUM ROYAL, DE LÉOPOLD Ier à BAUDOIN" d'Olivier Defrance et Christophe VachaudezL’ALBUM ROYAL, DE LÉOPOLD Ier à BAUDOIN
2011, 24 x 28, 192 pages, 30 €
Grâce à un ensemble unique et inédit provenant essentiellement d'archives et de collections privées jusqu'alors inexploitées, cet album royal retrace le quotidien de la dynastie, des origines de la photographie - qui correspondent quasiment à la création de l'État belge - à 1960. Certains documents proviennent des albums privés de la famille royale belge, d'autres ont été prises par les souverains eux-mêmes ou par des photographes renommés tels que Nadar, Bassano, Van Dyck, Ghémar, Géruzet ou Marchand. Fruit de longues recherches en Belgique et à l'étranger, ce livre aborde l'histoire de Belgique de façon originale, tout en offrant aux amateurs d’histoire un recueil de pièces exceptionnelles.

 

CAHIERS GENEALOGIQUES DE LA PREVOTE D'AMANCE EN LORRAINE"CAHIERS GENEALOGIQUES DE LA PREVOTE D'AMANCE EN LORRAINE, tome 1, les gentilshomme d'Amance" de Olivioer Eyraud
PAML, 2011, 19 x 26,5, 928 p., 86 €
En son temps premier chef lieu de prévôté du bailliage de Nancy, administrant 53 communes, Amante fut au cœur de l'histoire de Lorraine durant de nombreux siècles. Elle perdit sa prépondérance avec les revers qu'essuya la vieille dynastie ducale, Richelieu fit raser son imposant château médiéval, et le roi de Pologne lui ôta tout rôle juridictionnel, devenant le simple et paisible village que nous connaissons aujourd'hui, rappelant timidement au touriste les vestiges de sa gloire passée. L'Histoire fut presque toujours tragique aux lorrains qui conservèrent pieusement, en compensation des lourdes pertes patrimoniales qu'ils subirent, leurs vieux papiers. Ces fragiles trésors, déposés aujourd'hui aux archives de Lorraine, rescapés de tant de guerres et de malheurs, permettent dans presque tous les cas, de remonter jusqu'à la fin du XVème siècle les généalogies des familles d'Amante, Laître, Laneuvelotte, Dommartin, Champenoux, Agincourt, Château-Salins et de bien d'autres communes de la prévôté, véritable pont entre l'état civil existant et un passé lointain. Ce premier tome, d'une série qui en comptera quatre, retrace les lignages de ceux que l'on nommait « les gentilshommes d'Amante », hommes d'armes issus de noblesse féodale qui tissèrent des liens matrimoniaux avec les familles de propriétaires terriens locaux et de notables nancéiens. Un ouvrage de 925 pages, riche de plus de 3500 condensés d'actes inédits, extraits d'archives publiques très variées, se voulant une banque documentaire providentielle pour qui cherche ses ancêtres à Amante, ses environs, et Nancy.



ET TOUJOURS...


Frédéric d'HOUDETOT et Madeleine MASSERON"Frédéric d'HOUDETOT et Madeleine MASSERON 1778-1870, Entre Lumières et Ombres" de Jean Hesbert
HOUD, 2011, 16 x 24, 394 p., 24,90 €
Le mercredi ler mai 1811 se célèbre à Paris, le mariage religieux de Frédéric-Christophe d'Houdetot, préfet de l'Escaut et de Madeleine Masseron, dans une petite chapelle de la rue Saint-Louis-au-Marais. Frédéric est le petit-fils de Sophie-Elizabeth La Live de Bellegarde, l'amie platonique de Jean-Jacques Rousseau, celle que les littérateurs désignent comme la Comtesse d'Houdetot. Madeleine est la fille d'un éphémère conseiller au parlement de Rouen qui, malmené pendant la Convention, connaît les geôles rouennaises et parisiennes. Sa femme, Magdeleine Françoise, très fortunée,, divorce en son absence. Il décède peu après son retour, à Rouen. Les mariés sont orphelins. Ils ont en commun : - lui, d'avoir perdu sa mère, Louise Perrinet de Faugnes quand il avait trois ans : - elle, son père, Alexandre Masseron, à peu près au même âge. C'est aussi l'union de deux familles d'origine normande : les Houdetot sont de Haute-Normandie ; les Masseron ont leurs racines en Basse-Normandie. Là s'arrêtent les similitudes. Les Houdetot ont l'essentiel de leur vie à Paris. Les salons de la Comtesse attirent les plus beaux esprits de la fin du XVIIIe siècle. C'est une famille bien en vue. Mathieu Molé épouse Caroline de La Briche, cousine de Frédéric-Christophe. Derrière Madeleine Masseron se cache une mère dévorée d'ambition pour sa fille et très habile en affaires: Magdeleine Françoise Sébire de Boislabbé, qui a bien compris que l'avenir de sa fille passait par Paris. Tout semble réuni pour que cette union soit une réussite : - le mari, conseiller d'État, deux fois préfet en Belgique, puis dans le Calvados, pair de France, député à l'Assemblée nationale législative de la Seconde République et député au Corps législatif du Second Empire, de plus honoré de bien d'autres distinctions, - l'épouse bien jolie, un tendron de 18 ans, mais à peine de petite noblesse provinciale. Pourquoi alors Frédéric-Christophe d'Houdetot, baron de l'Empire, puis vicomte et comte, a-t-il épousé Madeleine Masseron ? Madeleine ne lui donne pas de descendant. C'est le drame de leur vie. FrédéricChristophe déploie alors une activité en tous sens. Elle mène pour sa part une existence sans lustre, encore que dans les salons elle gomme ses origines bien discrètes en se faisant appeler Pauline-Adélaïde Le Masseran. Celui qui éclairait le couple disparaît en 1859. C'est là pour une femme qui vit dans l'ombre, le début d'une période de pleine obscurité de onze ans, en retrait des mondanités de sa belle-famille. Elle décède en août 1870, délaissée de tous. Signe de l'échec de sa vie, elle laisse son patrimoine aller à ses ayants-droit au 7ème et 8ème degré dont elle ignore tout. C'est une aubaine pour Véronique Poirier-Ledesdet, issue d'une modeste famille de paysans des Pays de l'Ouest, qui peut se faire attribuer le bel hôtel du 12 rue de Tournon achevé de construire en 1778 par Michel Neveu.


GRAND ARMORIAL DE FRANCE"GRAND ARMORIAL DE FRANCE" de Henri JOUGLA de MORENAS et R. de WARREN
GAFP, ed. classique 2011 (édition luxe épuisée), 7 volumes 21 x 29,7, couverture souple, dos carré collé, 450 €
Catalogue général des armoiries des familles nobles de France, comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le royaume et celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse entre 1660 et 1830, d'après l'édition de 1952 en 6 volumes + 1 volume supplément.



GRAND DICTIONNAIRE HISTORIQUE, GENEALOGIQUE ET BIOGRAPHIQUE DE LA HAUTE-MARCHE"GRAND DICTIONNAIRE HISTORIQUE, GENEALOGIQUE ET BIOGRAPHIQUE DE LA HAUTE-MARCHE" de A. Tardieu
DIHM, 2011, 21 x 29,7, 216 p., 70 €





LA DYNASTIE D'APCHIER et leurs alliances "LA DYNASTIE D'APCHIER et leurs alliances" de M. Demorest
APCH, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La maison de Châteauneuf-Randon, connue en Gévaudan et en Vivarais depuis le XIè siècle, s'est divisée en plusieurs branches dites de Châteauneuf-Randon, d'Apchier, de Barjac-Rochegude et de Joyeuse. La baronnie d'Apchier donnait une entrée par tour aux états généraux du Languedoc, en alternance avec les baronnies de Mercoeur, de Canillac, de Tournel, de Châteauneuf-Randon, de Peyre, de Sénaret, et de Florac Guérin de Châteauneuf, chevalier, vivant en 1180, épouse Alix d'Apchier et fut la tige de la maison d'Apchier.



LA DYNASTIE DE PRUNELE et leurs alliances "LA DYNASTIE DE PRUNELE et leurs alliances" de M. Demorest
PRUN, 2011, 21 x 29,7, 25 €
Les Prunelé sont originaires de La Porte (près Etampes) on les trouve depuis Rudolphe de Prunelé vivant au 12e siècle. Ils possèdent Gazeran - par alliance avec les seigneurs du lieu au XIV° - jusqu'en 1706. Ils tiendront Ouarville plus longtemps encore - jusqu'à la fin du XIX° siècle.



LA DYNASTIE D'ESTAING et leurs alliances "LA DYNASTIE D'ESTAING et leurs alliances" de M. Demorest
ESTA, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La famille d'Estaing est l'une des familles nobles les plus considérables du Rouergue et d'Auvergne. Originaire d'Estaing, dans l'Aveyron où la châtellenie est attestée depuis le début du XIe siècle. La maison d'Estaing s'est éteinte avec le décès de l'amiral Charles-Henri d'Estaing (en 1794), puis de sa demi-sœur Lucie Madeleine d'Estaing qui est morte en 1826 et qui laisse une descendance nombreuse de nos jours.



LA DYNASTIE DE FLANDRE et leurs alliances "LA DYNASTIE DE FLANDRE et leurs alliances" de M. Demorest
FLAN, 2011, 21 x 29,7, 25 €
La maison de Flandre - aussi appelée les Baudouins (Lat. Balduini) - fut le premier lignage de la noblesse franque à s'installer durablement sur un territoire héréditaire. Elle fut fondée par Baudouin Ier Bras-de-Fer, époux de Judith, fille de Charles le Chauve.



LA DYNASTIE DES BLACAS et leurs alliances "LA DYNASTIE DES BLACAS et leurs alliances" de M. Demorest
BLAC, 2011, 21 x 29,7, 25 €
Les Blacas sont une maison française, très ancienne, qui tire son nom du château d'Aups (en Provence). Dès le XIIe siècle, Blacas de Blacas, dit le Grand guerrier, mort en 1235, se distingua parmi les plus vaillants chevaliers de la cour du comte Raimond Bérenger IV de Provence. Seigneurs de la ville d'Aups, la famille a longtemps combattu avec la commune dans un procès qui dura de 1346 à 1712. La ville d'Aups eut gain de cause après avoir gagné ce procès pour dépendre juridiquement du roi de France. Les Blacas possédaient notamment les châteaux de Vérignon et d'Aups ainsi que de nombreux autres domaines dans l'actuel canton aupsois. À cette famille, appartient Casimir Blacas d'Aulps. Le premier Blacas, Pierre d'Aulps, tige de la maison des Baux participa à la première croisade (1095-1099).



JEAN III DE GRAILLY, CAPTAL DE BUCH, CONNETABLE D’AQUITAINE "JEAN III DE GRAILLY, CAPTAL DE BUCH, CONNETABLE D’AQUITAINE" du Col. Léon Babinet
JGRA, 2011, reprint de l'édition 1896, 15 x 21, 82 p., 9 €
C’était un prince digne d’un meilleur sort et d’une mémoire éternelle, il ne le cédait à personne de son temps pour la valeur, la courtoisie, la piété et la conduite. Quant à sa noblesse, il était proche parent des rois de Navarre, de France et d’Angleterre... voilà défini, par un chroniqueur de l’époque, le Captal de Buch, Jean III de Grailly (1330-1376), tout premier seigneur gascon de l’Aquitaine « anglaise » du XIVe siècle. Il fut un des grands capitaines de l’époque à l’égal des Bertrand du Guesclin ou John Chandos et s’illustra dans de nombreuses batailles dont la plus célèbre fut celle de Poitiers où la victoire du Prince Noir sur le roi de France lui fut largement imputable. Trop grand capitaine pour le roi Charles V qui refusa de le libérer contre rançon, au mépris de toutes les lois de la chevalerie de l’époque et Jean de Grailly préféra se laisser mourir dans sa prison du Temple plutôt que de « tourner français » et renier son hommage au roi d’Angleterre-duc d’Aquitaine.



LES NOUVEAUTES DU 28 MARS AU 4 AVRIL 2011


"ARMORIAL GÉNÉRAL DU VELAY" de Georges Paul
AGV, reprint de l'édition 1912, 17 x 24, 522 p., 6 planches h.t. broché, 50 €
L’auteur a recensé les armoiries portées par les familles nobles et bourgeoises du Velay : les parties d’Auvergne, du Gévaudan, du Vivarais et du Forez. Il a compris les évêques, prévôts, chanoines-comtes et autres ecclésiastiques, communautés civiles et religieuses. A ce travail d’héraldiste, l’auteur a joint pour chaque notice une analyse faisant ressortir l’origine de chaque maison, les débuts de la filiation.



"HISTOIRE DE LA MAISON DE ROCHECHOUART" du Général Comte louis-victor-léon de ROCHECHOUART
HIRO, Tome 1 et 2, 2008, 15 x 21, 2 vol., 76 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1859



"CAHIER DE LA NOBLESSE DU BAILLIAGE DE SAINT-MIHIEL" (anonyme )
CNBS, 2010, 15 x 21, 64 p., 15 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1789,



"ARMORIAL DE LA PRINCIPAUTE DE MARTIGUES" de Pierre Daniel de LOSADA
ARPM, 2010, 229 p., 21 x 15, 25 €
L'armorial de la Principauté de Martigues s'adresse aux passionnés d'Histoire provençale. Par les différents thèmes traités, sa banque de données archivistiques et le souci apporté aux illustrations, ce livre est dédié aux amateurs d'études historiques. Il s'agit d'une intéressante approche de la fiscalité française au temps du Roi Soleil. Ce aspect méconnu révèle les exigences oppressantes de l'Etat, anecdotes à l'appui et éclaire sur les mentalités de la société de l'Ancien Régime. L'étude ne se limite pas à l'aspect héraldique car elle touche de nombreux domaines et concentre une base de données historiques et généalogiques sans précédent et qui n'avait jamais été révélée à ce jour pour la région des Martigues.



"NOBILIAIRE DE LORRAINE ET BARROIS OU DICTIONNAIRE DES FAMILLES ANOBLIES ET LEURS ALLIANCES, D'après l'Armorial Général de Dom Pelletier" de Félix COLIN de PARADIS
NLB, 2008, 482 p., 15 x 21, Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1878, 30 €
« M'étant occupé depuis longtemps de recherches généalogiques, soit pour suivre mes goûts personnels, soit pour obliger certaines familles dont les ancêtres ont habité la Lorraine, j'ai reconnu, par ma propre expérience, combien il était utile d'avoir un guide manquant, j'ai cru devoir le faire pour faciliter mes recherches; et si je ne me trompe, il sera utile à toutes les personnes curieuses de généalogies, et désireuses de retrouver à l'aide d'un nom toutes les alliances d'une famille. »



"ESSAI D'UN ARMORIAL QUERCYNOIS" de L. Esquieu,
ESAQ, 2003, 15 x 21, 448 p., 46 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1902



"ARMORIAL DE LA NOBLESSE DE LANGUEDOC" de Louis de LA ROQUE,
ANL, 2008, 2 Tomes, 15 x 21, 560 + 463 p., broché, 100 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1860



"NOTES POUR SERVIR A UN NOBILIAIRE DE MONTPELLIER" de Ch. de TOURTOULON
NOMO, 2010, 15 x 21, 236 p., broché, 20 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1856



"CATALOGUE DES GENTILSHOMMES D'ARMAGNAC ET DE QUERCY Qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux Etats Généraux de 1789, publié d'après les procès-verbaux officiels" de E. DE BARTHÉLEMY et Louis de LA ROQUE
CGAQ, 2007, 15 x 21, 45 p., 12 €
Réédition de l'oeuvre originale imprimée en 1900


ARMORIAL DES COMMUNES DE L'HERAULT"ARMORIAL DES COMMUNES DE L'HERAULT", de D. Catarina, JP. Fernon et J. David
ACH, 2011, 17 x 24, 136 p., blasons couleur, 28 €







LES CARACTERES DE CIVILITES, Typographie et calligraphie sous l'ancien régime"LES CARACTERES DE CIVILITES, Typographie et calligraphie sous l'ancien régime" de Remi Jimenes.
CACI, 2011, 21 x 29,7, 120 pages, 29,50 €
« Lettre française d'art de main » ou « lettre façon d'écriture », les caractères de civilité gravés par Robert Granjon en 1557 constituent l'une des plus fameuses imitations de l'écriture manuscrite dans la typographie. Reproduisant la gothique cursive très souple des secrétaires français de la Renaissance, ils seront employés à la composition des livres (et notamment des manuels scolaires) pendant plus de trois siècles. Cette typographie attire depuis longtemps l'attention dès historiens du livre mais les travaux publiés jusqu'à présent n'ont porté que sur les origines de cette écriture et sa diffusion à la fin de la Renaissance. Pour la première fois, cet ouvrage présente l'histoire des caractères de civilité sur un long terme, en observant les modalités de leur utilisation depuis la Renaissance jusqu'au milieu du XIXe siècle. Une première partie, consacrée aux années 1557-1650, décrit la création, la diffusion et le rapide déclin de cette typographie, et s'interroge sur les motivations idéologiques qui ont conduit à son utilisation puis à son rejet. La seconde partie, qui porte sur une période plus tardive (1650-1850), analyse les raisons pour lesquelles le caractère de civilité a été alors systématiquement employé à la composition des manuels de savoir-vivre. .. Dans ce large cadre chronologique, l'auteur examine le rôle qu'ont joué les caractères de civilité dans l’enseignement élémentaire et les rapports étroits qu'ils ont entretenus avec les modes calligraphiques. La typographie n'est donc pas ici examinée sous ses seuls aspects formels : on s'attache à restituer les enjeux (sociaux, religieux, économiques) qui en conditionnent les usages. À travers cette histoire de la « lettre française », c'est à une véritable exploration des relations entre typographie et calligraphie qu’est convié le lecteur.



L'ARMORIAL GENERAL DE 1696, et son application en Franche-Comté"L'ARMORIAL GENERAL DE 1696, et son application en Franche-Comté" de Nicolas Vernot.
Réédition 2011 de l'édition 2003, 21 x 29,7, 320 pages, 49 €
L'Armorial général de 1696 est un des documents les plus consultés de la Bibliothèque Nationale. Paradoxalement, c'est également un des plus méconnus. En effet, la complexité de son organisation interne et les jugements lapidaires portés parfois sur cette entreprise ont détourné nombre de chercheurs de cette source pourtant hors du commun. Avec ses quelques 120.000 enregistrements, l'Armorial général mérite tout l'intérêt du généalogiste, de l'historien et de tout curieux de la société d'Ancien Régime. Cette étude cherche à mettre fin à un certain nombre de préjugés traditionnellement attachés à l'Armorial général et s'attache à répondre aux questions les plus souvent formulées par tous ceux qui ont eu un jour affaire à cet ouvrage. Pourquoi l'Edit de 1696 a-t-il été mis en place ? Comment, concrètement, ont eu lieu les enregistrements ? Quel degré de confiance peut-on leur apporter ? Que sont les armoiries d'office, à qui et comment ont-elles été attribuées ? D'une manière générale, quelles sont les particularités des armoiries portées sous le règne de Louis XIV, comment étaient-elles choisies et quelle était leur signification ? Pour répondre à toutes ces questions, l'ouvrage s'appuie sur des sources précises telles que la législation (le texte de l'Edit y est intégralement reproduit). Surtout l'auteur, Franc-Comtois, a le souci permanent de confronter les ambitions de l'Etat monarchique à la réalité du terrain : il a donc choisi de donner son pays d'origine pour cadre à cette étude, ce qui lui permet d'expliquer de manière concrète et approfondie les modalités d'application de l'Edit de 1696. L'Armorial général est loin de s'adresser à la seule noblesse : bourgeois et marchands, villes et communautés religieuses sont eux aussi concernés par ce nouvel impôt dont l'application fait apparaître toute la richesse de l'heraldique sous le règne du Roi Soleil : phénomènes de mode, particularités locales, stratégies familiales, soif de paraître, voire humour... c'est un visage parfois inattendu de la société d'Ancien Régime qui se laisse découvrir…
Table des noms cités.



arbre généalogique de la principauté de Lichtenstein"DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET GENALOGIQUE : LA PRINCIPAUTE DE LICHTENSTEIN" des cahiers du CEDRE
DHLI, 1988, 2 vol., 420 p., 21 x 29,7, 122 €
Arbre généalogique de la famille princière du Lichtenstein. Généalogie et chronologie événementielle des dynasties ayant régné sur la principauté de Lichtenstein.





arbre généalogique de la famille royale d'espagne"DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET GENALOGIQUE : LE ROYAUME D'ESPAGNE, DUCHE DE PARME" des cahiers du CEDRE
RESP, 1990, 4 vol., 878 p., 21 x 29,7, 340 €
Arbre généalogique de la famille royale d'Espagne et du duché de Parme. Généalogie et chronologie événementielle des dynasties ayant régné sur le royaume d'Espagne.



NOBILIAIRE ET ARMORIAL DE BRETAGNE, Tome 1"NOBILIAIRE ET ARMORIAL DE BRETAGNE, Tome 1" de P. Potier de Courcy
NAB1, 2011, 324 p., 16 x 24, 27 €
Edité, remanié et réédité tout au long de la deuxième moitié du XIXe siècle (jusqu’en 1895) ce Nobiliaire et Armorial est un des monuments de l’héraldique et de la généalogie de la Bretagne ancienne. Cette nouvelle édition, entièrement recomposée se composera de quatre tomes (les trois tomes du Nobiliaire « stricto sensu » habituellement réédités, augmentés d’un quatrième reprenant la seconde partie du tome III de l’édition de 1890, — souvent tronquée ou oubliée —, qui se rapporte notamment aux nombreuses listes de titulaires de charges personnelles dans la Bretagne d’Ancien Régime.



ARMORIAL DU BEARN "ARMORIAL DU BEARN (1696-1701) Tome III, supplements et armes d'office" de A. Dufau de Maluquer
ARB3, 2011, 334 p., 15 x 21, 28,50 €
Paru dans la Revue du Béarn puis en tiré à part en 1889, l’Armorial de Béarn fait presque partie des ouvrages mythiques dont on a entendu parler mais sur lesquels, jamais, l’on n’arrive à mettre la main dessus. C’est toute l’histoire nobiliaire du Béarn d’Ancien Régime qui défile ainsi dans l’Armorial. Une somme impressionnante d’informations à nouveau disponibles grâce au travail patient et minutieux de Dufau de Maluquer (et de de J. de Jaurgain pour le premier tome).



LICHTENBERG, UNE FORTERESSE ET SA GARNISON DE 1678 A 1870 "LICHTENBERG, UNE FORTERESSE ET SA GARNISON DE 1678 A 1870" de D. Riehm
LICH, 1995, 228 p., 16 x 24, 22 €
Histoire et évolution architecturale de 1678 à 1870 d'après les archives conservées au service historique de l'armée de terre (Vincennes)




arbre généalogique de la famille royale d'angleterre"DICTIONNAIRE HISTORIQUE ET GENALOGIQUE : LE ROYAUME DE GRANDE BRETAGNE ET IRLANDE DU NORD" des cahiers du CEDRE
RUGB, 1990, 3 vol., 624 p., 21 x 29,7, 189 €
Arbre généalogique de la famille royale d'angleterre (angleterre, écosse, Irlande du Nord). Généalogie et chronologie événementielle des dynasties ayant régné sur le royaume d'angleterre, devenu le royaume d'angleterre, d'écosse et d'irlande depuis ses origines jusqu'à l'avènement de la dynastie de Hanovre, puis depuis le roi georges I, fondateur de la dynastie de Hanovre (maison des Guelfes), puis dynastie de Saxe-Cobourg-Gotha, puis Windsor.



Ritratti dei Visconti signori di Milano"RITRATTI DEI VISCONTI SIGNORI DI MILANO" de Pompeo Litta
VISC, 2010, 116 p., 16,5 x 23, (en italien), 28 €
Riproduzione della celebre opera che raffigura i ritratti stemmati dei Visconti che signoreggiarono su Milano dal 1277 al 1447, incisi da Eugenio Silvestri ed accompagnati dall’albero genealogico e dalla storia delle loro vite narrata da Pompeo Litta, più noto come l’autore della monumentale opera Famiglie celebri italiane.



PARRAVICINI"I PARRAVICINI" de Giustino Renato Orsini
PAVI, 2010, 100 p., 16 x 23, (en italien), 30 €
Ristampa anastatica dello studio dedicato alla ramificatissima famiglia dei Paravicini / Parravicini, con una particolare attenzione ai rami valtellinesi ed a quelli trasmigrati, apparso sul Periodico Storico Comense nel 1942. L’autore Giustino Renato Orsini (1883-1964) poté attingere per le proprie ricerche al proprio ricco archivio gentilizio, che per successione ereditaria aveva incorporato quello dei Paravicini di Dazio, estintisi nei maschi alla fine del 700 e che avevano a loro volta raccolto nel corso dei secoli l’eredità di altri rami del prolifico casato.



Armoriale Ticinese"ARMORIALE TICINESE" de Alfredo Lienhard-Riva
TICI, 2010, 600 p., 21 x 30, (en italien), 170 €
L’Armoriale Ticinese (Losanna, 1945) è l’opera di una vita di Alfredo Lienhard-Riva (1876-1959), che raccolse con puntigliose e precise ricerche notizie araldico-genealogiche su un’enorme mole di famiglie, estinte e fiorenti, stanziate nel Canton Ticino, molte delle quali di origine lariana. L’opera raffigura a colori ben 580 stemmi di famiglie ticinesi in ventinove magnifiche tavole, ed altre centinaia vi sono raffigurati in bianco e nero: tutti desunti da fonti attendibili, ed in special modo da sigilli, così come le notizie riportate, che fanno di questo lavoro un modello da imitare.



DU SERVAGE AU SALARIAT AGRICOLE DANS L'EUROPE DES PAYSANS, du moyen-age au XXe siècle"DU SERVAGE AU SALARIAT AGRICOLE DANS L'EUROPE DES PAYSANS, du moyen-age au XXe siècle" de P. Piégay
SESA, 2010, 15,5 x 24, 402 p., 35 €
L'histoire des ouvriers agricoles en France est bien connue à ce jour suite aux différentes études, recherches et témoignages. Ces approches de la réalité permettent de lever le voile sur leurs difficiles conditions de vie et de travail trop méconnues,jusque-là. Dans le présent ouvrage, nous souhaitons, dépassant le seul cadre du territoire français, axer notre démarche à l'échelle du continent européen par le biais des recherches entreprises dans chaque pays concerné. Parallèlement, il nous a paru souhaitable de mieux cerner les racines de ce sous-prolétariat. Comment a-t-il pu se constituer au cours des siècles dans le sillage de la paysannerie, à travers les crises, les conflits, les troubles qui émaillèrent l'évolution du monde rural ? Notre objectif reste toujours le même : témoigner du vécu de ces damnés de la terre afin que leur passé ne s'efface pas de la mémoire collective.



Un art de vivre francais ? LES MESSIEURS DU CONSEIL SOUVERAIN D'ALSACE DANS LEURS DEMEURES AU XVIIIe"Un art de vivre francais ? LES MESSIEURS DU CONSEIL SOUVERAIN D'ALSACE DANS LEURS DEMEURES AU XVIIIe" de V. Umbrecht
DEUA, 2010, 16 x 24, 288 p., 25 €
Dans le paysage alsacien du XVIIIe siècle, les Messieurs du Conseil souverain d'Alsace constituent un groupe social à part. Représentant du roi dans une province devenue française depuis peu, ils se sont identifiés à l'élite judiciaire du royaume et en ont adopté les codes. Une fortune fructifiée par une politique matrimoniale endogamique leur garantit la prééminence sur les autres catégories sociales. Ils ont mis en scène tous les attributs ostensibles de leur appartenance à cette élite parlementaire : un mode de vie nobiliaire partagée entre la demeure urbaine et la maison de campagne. Obligés de résider à Colmar lors des sessions du Conseil souverain, ils ont alors orchestré leur visibilité dans la ville par le choix d'un quartier, d'une rue et d'un type de maison qui leur permettait d'affirmer leur différence. Par leurs habitations, les Messieurs ont ainsi marqué dans la pierre l'ancienne cité impériale en affichant sur les façades un « goût à la française », réinventé par les architectes locaux. Lors des vacances parlementaires, ils rejoignaient leur domaine campagnard. Se comportant en seigneur terrien, ils habitaient de magnifiques maisons de plaisance qui reprenaient le schéma du château, enserré dans un écrin de verdure. Le jardin à la française inspira largement les commanditaires au XVIIIe siècle, pour faire place, dans la seconde moitié du siècle, au jardin pittoresque dont un des rares exemples alsaciens est parvenu jusqu'à nous. L'étude du mode de vie des Messieurs ne serait pas complète sans évoquer leurs manières d'habiter. Édifices soumis aux règles de l'art de la distribution, ces demeures étaient agencées selon le précepte de la séparation de la vie publique et de la vie privée, et ornées d'un mobilier et d'une décoration spécifiques. Un art de vivre français enAlsace ? Ou un art de vivre alsacien dans le royaume de France? Ce sont à ces questions que tente de répondre cet ouvrage qui retrace le parcours de ces Messieurs, vecteurs de la diffusion d'un art venu d'outre-Vosges, implanté sur une terre de tradition germanique.



Sire, de grace, une particule"SIRE, DE GRACE, UNE PARTICULE (H-I-J-K)" de Bertrand Ogereau et Etienne de Sereville
PART8, 2011, 21 x 29,7, 51 €
Essai de répertoire des familles francaises particulées. Ancien régime, Empire et république. Tome H-I-J-K, contenant 2000 notices avec des noms totalements inédits.






LA DESCENDANCE DE NAPOLEON III, dernier souverain de France"LA DESCENDANCE DE NAPOLEON III, dernier souverain de France" de E. de Tassigny
DEN3, 2011, 15,5 x 24, ill. N & B, 388 p., 40 €
Eddie de Tassigny s'est d'abord découvert plus de 250.000 cousins et s'est ensuite attaqué à la descendance de Napoléon Ier (publiée en 2009 et dont il y a une liste d'addenda dans le présent ouvrage). On trouvera ici tout ce qu'il convient de savoir sur la postérité de Napoléon III (quatre fils naturels et un légitime) et soixante descendants en tout. Ils sont littéralement suivis à la trace, avec de nombreux documents à l'appui. De bien curieux personnages parfois ! Outre le prince impérial, dont le destin pathétique est en fait très méconnu, on trouve les deux derniers anoblis par un souverain français (en juin 1870) : les comtes d'Orx et de Labenne, plus ou moins heureux en affaires. Autres fils illégitimes : un brillant chirurgien dentiste et le fils d'une éminente « demi-mondaine », Marguerite Bellanger.
Table des noms cités



"ENCYCLOPEDIE GENEALOGIQUE DE LA NOBLESSE DE FRANCE VII (Beu-Boisb)" de J. Saillot
EGNF7, 2011, 21 x 29,7, 560 p., 55 €



DICTIONNAIRE ARIEGEOIS-FRANCAIS"DICTIONNAIRE ARIEGEOIS-FRANCAIS (LANGUEDOCIEN-FRANCAIS)" de A. Moulis
DIAF, 2001, 14,5 x 20,5, 314 p., 30 €






L'ARBRE (généalogique) DES FAMILLES"L'ARBRE DES FAMILLES" de J.F. Demange
ARFA, 2003, 21 x 29, 216 p., nb ill. couleurs, relié toile sous jaquette, 45 €
Tout en apportant une réponse à notre quête des origines et du passé, la généalogie a été le support d'un art et d'un langage visuel qui n'ont cessé d'évoluer au fil des siècles. Avant que naisse l'arbre des familles tel que nous le connaissons, on a imaginé les formes les plus étonnantes, voire les plus audacieuses. Les compositions rudimentaires des époques anciennes ont alors peu à peu fusionné avec les arbres symboliques utilisés en nombre à la fin du Moyen Âge. De ces arborescences permettant d'organiser la réflexion, la méditation et l'argumentation est issu l'arbre que nous appelons généalogique. Si le XVIe siècle s'impose à cet égard comme celui de l'excellence, les siècles suivants nous ont légué des représentations tout aussi passionnantes. Arbres de vie, arbres de Jessé, figure de l'ancêtre, arbres dynastiques, pratiques contemporaines... cet ouvrage retrace les étapes et les significations de la figuration généalogique à travers les plus beaux spécimens de l'histoire.



CADETS DE GASCOGNE "CADETS DE GASCOGNE, de cape, de plume et d'épée" de J.F. Demange
CAGA, 2010, 15,5 x 24, 320 p., 23 €
Cet ouvrage se donne pour but de comprendre ce qui fit la célébrité des soldats gascons dans l'Histoire de France, puis de tenter de dégager la part de vérité contenue dans la fiction. Pourquoi les mots « Cadets de Gascogne » sont-ils à ce point chargés de sens ? Est-ce de façon usurpée ou méritée ? Les auteurs littéraires, puis les scénaristes de films, ont-ils exagéré la réalité historique jusqu'à la caricature, ou correspond-elle à quelque réalité ? Pour répondre à ces questions, cet ouvrage vous propose une promenade dans le temps.



CES IMMIGRES QUI ONT FAIT LA FRANCE "CES IMMIGRES QUI ONT FAIT LA FRANCE" de D. Casali et L. Schiffer
IMMI, 2007, 18 x 24, 224 p., 35 €
Héritière de siècles de migrations depuis le Moyen Âge, 1a nation française a construit son identité sur sa diversité. De nombreux grands personnages de l'histoire incarnent ce brassage : hommes d'État comme Mazarin, militaires comme le général Yusuf, scientifiques comme Marie Curie, ou encore artistes comme Marc Chagall, tous ont oeuvré au rayonnement de la France dans le monde. Vingt-et-un portraits intimes, illustrés d'une riche iconographie, retracent la destinée de ces exilés volontaires ou non dont l'histoire personnelle rejoint la grande Histoire.



FRANC MACONNERIE ET SOCIETES SECRETES CONTRE NAPOLEON "FRANC MACONNERIE ET SOCIETES SECRETES CONTRE NAPOLEON, Naissance de la nation allemande" de G. Hertault et A. Douay
FMSS, 2005, 14 x 22,5, 464 p., 26 €
Parmi les nombreux états que comptait l’Allemagne en 1803, seule la Prusse pouvait espérer jouer un rôle. Mais le 14 octobre 1806, les victoires françaises d’Iena et d’Auerstadt révélèrent l’état de décomposition du pays dirigé par Frédéric-Guillaume III, monarque conservateur et indécis. Or, sept ans plus tard, la Prusse prenait une part éclatante dans la bataille des nations à Leipzig.
Comment cette transformation a-t-elle pu être aussi rapide sous un pouvoir aussi absolu et rétrograde ? C’est l’objet de cet ouvrage qui nous fait découvrir, pas à pas, les actions souterraines de la plupart des sociétés secrètes, fondées à partir de la franc-maçonnerie prussienne.



DICTIONNAIRE DES MARINS FRANCAIS"DICTIONNAIRE DES MARINS FRANCAIS" de E. Taillemite
DMF, 2002, relié sous jaquette, 17 x 24, 574 p., 50 €
Surcouf, Cousteau, de Grasse, Bougainville, Monge, Duguay-Trouin, Cartier, Tabarly, Richelieu, Baudin, La Motte-Picquet, Suffren, Leygues, Bart, Vauban, Duquesne, Gauguin, Lapérouse, Kerguelen, Tourville, D'Entrecasteaux, Loti, Coligny, Carnier, Colbert... Depuis près de cinq siècles, ces hommes et tant d'autres, qu'ils aient été combattants, ministres, explorateurs, écrivains, administrateurs, scientifiques ou artistes, ont écrit les plus belles pages de l'histoire maritime française. Ces personnalités aux destins passionnants méritaient de figurer dans un ouvrage de référence. C'est l'objectif que s'est fixé Étienne Taillemite en nous proposant ce dictionnaire. À travers près de mille portraits, puisés aux meilleures sources, il nous fait revivre les grands épisodes de l'aventure maritime française, sur le plan de la politique générale comme sur celui des opérations militaires auxquelles la marine a été mêlée. Il met également en lumière certains aspects méconnus des activités de la flotte : missions diplomatiques, contribution à la recherche scientifique, grandes découvertes, missions à caractère humanitaire, etc. Cette nouvelle édition du Dictionnaire des marins français, totalement revue et augmentée de plus de cent cinquante portraits, apparaît véritablement comme l'ouvrage incontournable sur le sujet.



BALADES NAPOLEONIENNES DANS PARIS Consulat et premier empire "BALADES NAPOLEONIENNES DANS PARIS Consulat et premier empire" de K. Huguenaud
BNDP, 1981, 14 x 21, 208 p., 23 €
C'est à un voyage au cour de l'histoire du Consulat et du premier Empire que convie ce guide. En arpentant les rues de la capitale, en redécouvrant ses monuments, le promeneur-lecteur retrouve, de façon originale et parfois inattendue, dans les traces du Paris consulaire et impérial, les Grandes dates de l'histoire napoléonienne. Depuis le coup d'État du 18 brumaire jusqu'à la chute de l'Empire en 1815, la ville dévoile à travers ses multiples facettes le tableau d'une époque. Car, des lieux du pouvoir - Louvre, Palais Bourbon, Luxembourg, etc. - jusqu'aux monuments dédiés aux armées victorieuses - colonne Vendôme ou arcs de triomphe du Carrousel et de l'Étoile -, paris nous montre encore la face glorieuse de l'épopée. Urbaniste et bâtisseur, Napoléon rêvait de faire de la capitale de l'Empire la plus belle ville d'Europe. Sa politique, faute de temps, ne portera pas les fruits espérés. De la rue de Rivoli au pont d’Austerlitz, ces dix balades sont une invitation à retrouver l'ouvre impériale. Un paris moins officiel s'offre alors à nous, celui qui fut le cadre de vie d'une société jeune, avide de loisirs et de plaisirs. Si elles se complaisent dans les aristocratiques faubourgs Saint-Germain et Saint-Honoré, les élites de cette société goûtent tout autant les quartiers à la mode comme la Chaussée d’Antin, si proche de l'effervescence des grands boulevards et des turbulences du Palais Royal. De la grande Histoire de l'Empire à l'évocation du quotidien de maris il y a deux cents ans, ce guide, accessible au simple amateur de balades historiques, recèle de surprises, même pour le connaisseur de la période.



GENEALOGIE DE LA FAMILLE DELLOYE olim D'IVE ou DYVE de THIRIFAYS et de PREIT DELLE LOYE "GENEALOGIE DE LA FAMILLE DELLOYE olim D'IVE ou DYVE de THIRIFAYS et de PREIT DELLE LOYE (1470-1980)" de D. Havard de la Montagne
DELL, 1981, 21 x 27, 120 p., 35 €
Histoire et généalogie de cette famille de Flandre, membre de la bourgeoisie de Huy.





"PRIORISTA FIORENTINO ORSINI DE MARZO"
PFOM, 2011, 23 x 34, 576 p., relié, sous coffret, (en italien) 450 €
Questo importantissimo stemmario cinquecentesco è in realtà un priorista, poiché elenca, accanto allo stemma di ciascuna famiglia, i nomi e gli anni di carica dei priori e gonflalonieri di giustizia forniti da ciascun casato alla Repubblica di Firenze negli anni intercorrenti fra l’instaurazione del Priorato delle Arti ( 1282) e l’avvento dol ducato mediceo (1532).



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